J’ai lu: Belle Greene d’Alexandra Lapierre

Hello tout le monde !

Je vous retrouve aujourd’hui pour vous parler du roman Belle Greene de l’autrice Alexandra Lapierre connue pour ses romans historiques (bien que romancés) toujours bien documentés et passionnants.

 ♥ = Bof bof, à éviter

♥♥ = Sympa, sans plus

♥♥♥ = Pas mal du tout , j’ai passé un bon moment !

♥♥♥♥ = A lire absolument !

♥♥♥♥♥ = Attention, gros coup de cœur !

Les (♥) représentent les demis 

L’image provient de mon Instagram.

belle greene

Nombre de pages: 544 pages

Maison d’édition: Flammarion

Date de parution (dans cette édition): 20 janvier 2021

4ème de couverture:

New York, dans les années 1900. Une jeune fille, que passionnent les livres rares, se joue du destin et gravit tous les échelons. Elle devient la directrice de la fabuleuse bibliothèque du magnat J.P. Morgan et la coqueluche de l’aristocratie internationale, sous le faux nom de Belle da Costa Greene. Belle Greene pour les intimes. En vérité, elle triche sur tout. Car la flamboyante collectionneuse qui fait tourner les têtes et règne sur le monde des bibliophiles cache un terrible secret, dans une Amérique violemment raciste. Bien qu’elle paraisse blanche, elle est en réalité afro-américaine. Et, de surcroît, fille d’un célèbre activiste noir qui voit sa volonté de cacher ses origines comme une trahison. C’est ce drame d’un être écartelé entre son histoire et son choix d’appartenir à la société qui opprime son peuple que raconte Alexandra Lapierre. Fruit de trois années d’enquête, ce roman retrace les victoires et les déchirements d’une femme pleine de vie, aussi libre que déterminée, dont les stupéfiantes audaces font écho aux combats d’aujourd’hui.

Mon avis:

Le personnage de Belle Da Costa Greene m’a vraiment fascinée car elle place sa passion pour les livres et les beaux objets au-dessus de tout. C’est une jeune femme à la personnalité complexe et foisonnante. 

Une femme d’origine afro-américaine mais qui arrive (ainsi que sa mère et ses frères et soeurs) à se faire passer pour blanche (elle s’invente une famille aux origines portugaises – la branche « Da Costa » pour justifier la relative matité de sa peau) en falsifiant ses documents d’identité. 

J’ai trouvé incroyable ou plus exactement vraiment terrible qu’il y ait pu avoir une loi qui disait que si vous aviez un ancêtre noir (une seule goutte de sang noir) vous étiez considéré comme noir aux yeux du monde. Dans une société très raciste et ancrée dans ses traditions pro-blancs, j’ai trouvé très courageux de la part de Belle Greene d’évoluer et de grimper tous les échelons de l’échelle sociale, en temps que femme blanche. 

J’ai adoré la suivre devenir bibliothécaire puis devoir s’occuper grâce à son franc parlé et son culot de la prestigieuse collection de livres (et autres objets d’art) du riche J.P. Morgan qui va la prendre sous son aile. Il va lui laisser les coudées franches pour acheter les livres qu’elle veut aux plus célèbres mises aux enchères, faisant d’elles la femme la plus puissante dans ce domaine d’activité. Elle sait ce qu’elle veut – et surtout ce qu’elle ne veut pas – et ne se laisse jamais marcher sur les pieds. Elle veut le meilleur pour son patron – qu’elle chérit plus que tout au monde (à égalité avec les livres bien sûr) – et se donne les moyens pour l’obtenir – au meilleur prix qui plus est.

Cependant, le poids de ce mensonge sur ses origines lui pèse chaque jour un peu plus, surtout quand elle se rend compte que son père pourrait révéler à tout moment la vérité. Et pour elle, tout s’écroulerait comme un château de cartes. Elle perdrait tout.  Tous ses partenaires commerciaux refuseraient de travailler avec une femme étiquetée comme noire, sans parler de son patron, sa plus grosse peur étant de le décevoir car elle le tient en très haute estime (même si elle pense qu’il se doute peut-être de quelque chose au fond de lui). 

Belle est une femme libre, aux multiples amants, sans jamais se fixer (car elle ne veut pas risquer d’avoir un enfant noir) mais qui vit néanmoins de grandes passions, en particulier avec des hommes mariés. (ainsi elle est sûre que des deux côtés rien de « sérieux » ne se construira).

J’ai adoré ce livre qui m’a emportée dans une ronde folle et qui m’a vraiment passionnée. Tout ce qui touche aux livres m’intéresse particulièrement évidemment mais ce livre traite également de racisme et de féminisme. Bref, c’est un roman riche et palpitant – tiré d’une histoire vraie qui plus est – dont je n’ai pas vu passer les 544 pages!

J’ai adoré voir les photos de Belle Da Costa Greene en fin de roman, ce qui m’a permit de vraiment me l’imaginer. 

Alexandra Lapierre a fourni un travail colossal et brillant pour faire revivre cette héroïne des temps (pas si) modernes. A lire absolument!

 

Ma note: ♥♥♥♥♥


Bilan de mes lectures du mois de février 2018

Coucou tout le monde !

Je reviens aujourd’hui pour vous présenter mes lectures du mois de février 2018

Les résumés et les images ont été pris sur Amazon, sauf pour l’antre du tonnerre, le résumé a été pris sur le site Babelio.com .

Livres lus durant le mois : 9 (étonnant, pour le mois le plus court de l’année!)

 ♥ = Bof bof, à éviter

♥♥ = Sympa, sans plus

♥♥♥ = Pas mal du tout , j’ai passé un bon moment !

♥♥♥♥ = A lire absolument !

♥♥♥♥♥ = Attention, gros coup de coeur !

La chimiste – Stephenie Meyer

Nombre de pages: 555 pages

Editeur: JC Lattès

Date de parution (dans cette édition): 23 novembre 2016

Résumé: 

Elle était l’un des secrets les mieux gardés – et des plus obscurs d’une agence américaine qui ne portait même pas de nom. Son expertise était exceptionnelle et unique. Et puis, du jour au lendemain, il faut l’éliminer au plus vite…
Après quelques années de clandestinité, son ancien responsable lui propose d’effacer la cible dessinée sur son dos. Dernière mission… ou dernière trahison ?
Alors que sa vie ne tient plus qu’à un fil, un homme que tout devrait éloigner d’elle va bouleverser ses certitudes. Comment survivre à une traque impitoyable quand on n’est plus seule ?
Dans ce roman palpitant et original, Stephenie Meyer a imaginé une nouvelle héroïne aussi émouvante que fascinante. Avec La Chimiste, elle révèle encore une fois tout son talent qui la place parmi les auteurs les plus reconnus au monde.

Mon avis: 

J’étais impatiente de retrouver la plume de Stephenie Meyer (l’auteure de la saga Twilight et des Ames Vagabondes) car elle a toujours su bien capter mon attention. Si j’avais bien aimé Twillight, je dois dire que le roman Les Ames Vagabondes m’avait vraiment conquise. De ce fait, j’avais de hautes espérances pour ce nouveau one shot 🙂 L’histoire est prenante, haletante, impossible de ne pas s’attacher à cette jeune femme perclue de TOC qui doit se battre chaque jour pour sa survie, sans jamais relever sa vigilance. J’ai adoré !

Ma note: ♥♥♥♥♥

 

Journal d’un vampire en pijama suivi de carnet de board – Mathias Malzieu

Nombre de pages: 310 pages

Editeur: Le Livre de Poche

Date de parution (dans cette édition): 4 octobre 2017

Résumé: 

Ce livre est le vaisseau spécial que j’ai dû me confectionner pour survivre à ma propre guerre des étoiles. Panne sèche de moelle osseuse. Bug biologique, risque de crash imminent. Quand la réalité dépasse la (science-) fiction, cela donne des rencontres fantastiques, des déceptions intersidérales et des révélations éblouissantes. Une histoire d’amour aussi. Ce journal est un duel de western avec moi-même où je n’ai rien eu à inventer. Si ce n’est le moyen de plonger en apnée dans les profondeurs de mon cœur.

Mon avis: 

J’avais déjà eu l’occasion de lire plusieurs romans de cet auteur (dont la Mécanique du Coeur que j’avais beaucoup aimé!) et du coup, quand j’ai vu qu’il avait écrit un livre pour raconter sa maladie du sang et sa rémission, j’ai été curieuse de le lire. J’ai aimé sa façon de raconter, toujours avec beaucoup d’humour et de dérision. Cela se lit comme un roman, à la différence que ce n’en est pas un ! J’ai dévoré ce livre mais par contre je ne pense pas que j’aurai envie de le relire plus tard du coup c’est pourquoi il n’a pas 5 étoiles.

Ma note: ♥♥♥♥

 

Mémoires d’une jeune guenon dérangée – Le journal intime de Cléopâtre Wellington tome 1 – Maureen Wingrove (alias Diglee)

Nombre de pages: 233 pages

Editeur: Michel Lafon

Date de parution (dans cette édition): 12 octobre 2017

Résumé: 

Cléopâtre a 13 ans, trois chats, des parents divorcés, une petite sœur givrée fan de phoques, une pilosité plus proche de celle du singe que de l’être humain, et doit supporter quotidiennement maintes humiliations et insultes assénées par Clément, le plus sadique mais néanmoins plus beau mec du collège.
Heureusement, elle peut compter sur sa BFF Chloé pour lui faire oublier ses drames existentiels à grand renfort de missions d’espionnage nocturnes et de tournage de film d’horreur amateur.
Mais cette année, deux nouveaux font leur apparition en classe de quatrième… Et il se peut qu’ils changent considérablement le quotidien de Cléo. 

Mon avis: 

En grande fan des dessins et de l’humour de Diglee, je ne pouvais que craquer pour son premier roman ! Dans ce roman, on suit la jeune Cléopâtre, pré-ado, qui tient un journal intime et y décrit ses conversations avec ses chats, sa meilleure amie, son avis sur les différents garçon de sa classe et le tout est super drôle. Elle fera l’expérience de sa première « amourette » et tout est très bien décrit, j’ai eu l’impression d’être ramenée en arrière ! Je pense que Diglee a du également pas mal s’inspirer de sa propre vie pour créer ce personnage. En tout cas je ne peux que recommander ce premier roman (un premier tome en plus, vivement la suite!) que ce soit pour les adultes ou les ados.

Ma note: ♥♥♥♥♥

 

Le mec de la tombe d’à côté – Katarina Mazetti

Nombre de pages: 254 pages

Editeur: Babel

Date de parution (dans cette édition): 30 mars 2009

Résumé: 

 Désirée se rend régulièrement sur la tombe de son mari, qui a eu le mauvais goût de mourir trop jeune. Bibliothécaire et citadine, elle vit dans un appartement tout blanc, très tendance, rempli de livres. Au cimetière, elle croise souvent le mec de la tombe d’à côté, dont l’apparence l’agace autant que le tape-à-l’oeil de la stèle qu’il fleurit assidûment. Depuis le décès de sa mère, Benny vit seul à la ferme familiale avec ses vingt-quatre vaches laitières. Il s’en sort comme il peut, avec son bon sens paysan et une sacrée dose d’autodérision. Chaque fois qu’il la rencontre, il est exaspéré par sa voisine de cimetière, son bonnet de feutre et son petit carnet de poésie. Un jour pourtant, un sourire éclate simultanément sur leurs lèvres et ils en restent tous deux éblouis… C’est le début d’une passion dévorante. C’est avec un romantisme ébouriffant et un humour décapant que ce roman d’amour tendre et débridé pose la très sérieuse question du choc des cultures.

Mon avis: 

J’avais entendu beaucoup de bien de ce roman qui paraît-il était plutôt drôle (enfin plutôt tragi-comique). J’ai eu de la peine à m’attacher aux personnages, je ne les ai pas trouvé spécialement intéressants et leur histoire d’amour (enfin de sexe surtout) est un peu bidon. Je vais tout de même lire la suite pour voir si ça s’arrange! Ce livre est sympa à lire mais ne m’a pas laissé un souvenir impérissable.

Ma note: ♥♥

 

 

L’excessive – Alexandra Lapierre

Nombre de pages: 279 pages

Editeur: Pocket

Date de parution (dans cette édition): 1er mars 2012

Résumé: 

Libre et déterminée, intelligente et spirituelle, Elizabeth Chudleigh traversa le XVIIIe siècle en laissant derrière elle un parfum de scandale. Issue de la petite noblesse, elle devint la protégée du roi d’Angleterre, l’amie de Casanova et de l’impératrice Catherine II de Russie, avant d’essuyer des défaites dont aucune femme n’aurait pu se relever. Mais elle sut transformer ses naufrages en triomphes.
Elle aima la vie, le pouvoir et les hommes avec passion. Ils l’aimèrent à la folie.

Mon avis: 

J’aime particulièrement les romans ayant un fond historique. Même si le personnage n’a pas forcément existé (ce n’est pas le cas ici, l’héroïne a il me semble réellement existé), j’aime que la « toile de fond » du roman soit réelle, cela m’aide à mieux me plonger dans l’époque. Le personnage d’Elizabeth Chudleigh m’a vraiment plu car c’est une femme forte qui n’a pas forcément besoin d’un homme pour se réaliser. Une femme hyper moderne en somme !

Ma note: ♥♥♥

 

L’antre du tonnerre  – Dean Koontz

Nombre de pages: 318 pages

Editeur: Pocket – terreur

Date de parution (dans cette édition): mai 2009

Résumé: 

La tête avait été tranchée du reste du corps, l’épiderme avait des nuances gris-vert, on voyait du pus séché aux commissures des lèvres, des ampoules hideuses autour du nez tuméfié, des taches noires suintantes de décomposition aux coins des yeux.
Figée d’horreur, Susan avait reconnu la tête de Jerry Stein, son fiancé, mort treize ans auparavant dans des circonstances horribles, lors d’une cérémonie d’initiation dans une confrérie.
Il est bien difficile de conserver son sang-froid, quand les hallucinations et les visions de cauchemar se succèdent. Dans ce monde de démence et d’épouvante, Susan se sent sombrer peu à peu…

Mon avis: 

C’est le premier Dean Koontz que je lis et dans ma tête je le comparais à Stephen King ou Peter Straub. Comme je me trompais. Ce roman se laisse lire mais la fin, beaucoup trop rapide, m’a déçue (même si un peu étonnée), m’a laissée sur ma faim, on aurait dit que l’auteur avait envie de boucler rapidos son roman après avoir atteint le bon nombre de pages demandé par son éditeur 😀 A part cela, j’ai aimé la plume de Dean Koontz, je pense tout de même lire d’autres titres de cet auteur !

Ma note: ♥♥♥

 

La communauté du Sud – tome 1: Quand le danger rôde – Charlaine Harris

Nombre de pages: 314 pages

Editeur: J’ai Lu

Date de parution (dans cette édition): 17 août 2009

Résumé: 

Les vampires vivent désormais parmi les humains grâce à un substitut leur permettant de se nourrir sans tuer. Mais la méfiance règne toujours à Bon Temps, petite ville de l’Amérique profonde. L’arrivée de Bill, ténébreux vampire du me siècle va bouleverser la vie de la jeune serveuse télépathe, Sookie, d’autant qu’une vague de crimes s’abat sur la ville.

Mon avis: 

Je dois dire que j’étais curieuse de lire ce premier tome car je sais que la série tirée de ces romans avait eu beaucoup de succès et que moi, en bon mouton, j’avais acheté les 12 ou 13 tomes de la série sans même en avoir lu un … (oui oui vous avez bien lu!). Autant vous dire que j’espérais grandement que ce premier tome allait me plaire 🙂 hé bien, j’ai bien aimé ma lecture, rien de super profond ni rien de très innovant (des vampires, des loups-garous).. mais les personnsages sont tout de même intéressants et je me réjouis de lire la suite, des lectures légères pour l’été en perspective !

Ma note: ♥♥♥

 

Les porteurs de glace – Anna Enquist

Nombre de pages: 141 pages

Editeur: Babel

Date de parution (dans cette édition): 6 avril 2006

Résumé: 

Nico et Lou Desbrogé cachent un drame familial au monde extérieur : leur fille adoptive a quitté la maison. Puisqu’elle est majeure, ils ne l’ont pas fait rechercher, mais son absence accentue l’incompréhension et le silence qui depuis longtemps brisent leur couple. Psychanalyste, Nico vient d’obtenir la direction d’un hôpital où il se heurte bientôt à de graves conflits sociaux. Il s’attache alors à une jeune stagiaire, Eva, et s’octroie une escapade avec elle. Mais à l’aube, malgré son acharnement à ne rien laisser paraître, il l’abandonne et part au hasard en voiture. Après avoir tenté de joindre Lou par téléphone, il perd le contrôle de son véhicule… Dans ce roman, Anna Enquist retrace avec une grande justesse la dérive psychologique de ses personnages. Leurs sentiments, subtilement déviants, sont les clefs d’un univers familier et inquiétant, baigné de culpabilité protestante et de freudisme implicite.

Mon avis: 

J’ai eu de la peine à m’identifier à ce couple froid dont la fille adoptive disparaît sans que cela ne les touche plus que cela (en apparence). Tout à coup le vernis de perfection se fendille et révèle des failles… jusqu’au drame qu’on sent déjà pointer dès les premières pages du roman. J’ai trouvé que le déroulement de l’intrigue était un peu trop rapide (141 pages pour une histoire pareille c’est un peu peu) et la fin un peu précipitée. Dommage.

Ma note: ♥♥♥

 

Le sourire des femmes – Nicolas Barreau

Nombre de pages: 336 pages

Editeur: J’ai Lu

Date de parution (dans cette édition): 28 janvier 2015

Résumé: 

 À Paris, un triste vendredi de novembre. Aurélie, en plein chagrin d’amour, remarque dans une librairie un roman intitulé Le Sourire des femmes. En le feuilletant, stupeur ! : non seulement elle y découvre le nom du restaurant dont elle est propriétaire, mais, de plus, l’héroïne lui ressemble comme deux gouttes d’eau. La lecture passionnée de ce roman lui redonne goût à la vie. Intriguée par tant de coïncidences, elle décide d’entrer en contact avec son auteur. Mais rencontrer le mystérieux Robert Miller par l’intermédiaire de son éditeur s’avère étrangement difficile… Comédie romantique qui peint avec saveur un Paris pittoresque et gourmet, Le Sourire des femmes revisite le nouveau désordre amoureux non sans un soupçon de magie et un zeste d’enchantement.

Délicieusement romantique. Madame Figaro.

Mon avis: 

Je savais qu’il s’agissait d’un feel good book et je dois dire que j’avais vraiment envie de lire un roman du genre ! ça a été tout de même une belle surprise, j’ai trouvé ce roman charmant, je me suis laissée prendre par l’histoire et j’ai adoré le personnage de l’éditeur qui est vraiment attachant. Un bon roman à lire les jours de cafards !

Ma note: ♥♥♥♥

 

Et voilà, c’est tout pour mes lectures du mois de février, mes lectures de mars et avril suivront dans peu de temps !! (je suis navrée pour le retard!)

Bisous !