J’ai lu: Les ennemis de la vie ordinaire d’Héléna Marienské

Hello tout le monde !

Je vous retrouve aujourd’hui pour vous parler du roman Les ennemis de la vie ordinaire de l’autrice Héléna Marienské qui trainait depuis bien trop longtemps dans ma pile à lire!

 ♥ = Bof bof, à éviter

♥♥ = Sympa, sans plus

♥♥♥ = Pas mal du tout , j’ai passé un bon moment !

♥♥♥♥ = A lire absolument !

♥♥♥♥♥ = Attention, gros coup de cœur !

Les (♥) représentent les demis 

L’image provient de mon instagram.

les ennemis de la vie ordinaire

Nombre de pages: 336 pages

Maison d’édition: Flammarion

Date de parution (dans cette édition): 19 août 2015

4ème de couverture:

L’un boit, l’autre sniffe, le troisième fornique à corps perdu. Les autres ne sont pas en reste. Tous sont addicts et se trouvent embarqués dans une thérapie de groupe d’un nouveau genre. Ils y trouveront ce qui n’était pas prévu : la polyaddiction. Ça secoue. Mais pas seulement : car ces ennemis de la vie ordinaire vont aussi découvrir dans le groupe l’entraide, l’amitié, et l’amour, le bel amour.
Comédie hilarante, portée par une écriture brillante et rythmée, ce roman s’empare d’un sujet de société contemporain, l’addiction, pour mieux le détourner : un conte moderne aussi réjouissant qu’immoral.
Abstinents s’abstenir.

Mon avis:

Ce roman aborde le thème des addictions, que ce soit l’alcool, la drogue, le sexe, le shopping, les jeux d’argent ou encore le sport.

On va suivre une brochette de personnages tous plus attachants les uns que les autres, malgré leurs travers. 

Ils vont se rencontrer lors d’une réunion sur les addictions et finalement vous réussir à s’entendre, même si ce n’est pas forcément de la façon dont on aurait pu le penser! On les suit individuellement dans les différents chapitres et cela permet de plus facilement entrer dans leur peau, chose que j’ai vraiment appréciée. La personnalités de tous les protagonistes est fouillée, bien construite.

J’ai beaucoup aimé ce livre qui aborde des problèmes graves mais sans jamais tomber sans le pathos. L’autrice distille beaucoup d’humour dans les dialogues et certaines réparties sont vraiment hilarantes. J’ai vraiment apprécié sa plume provocante, qui cherche à déranger, à choquer même. 

Un roman que j’ai vraiment eu du plaisir à lire, et que j’ai d’ailleurs dévoré en deux sessions de lecture! La fin est un peu tirée par les cheveux mais qu’importe, j’ai vraiment adoré suivre les personnages dans leurs délires!

Un conte immoral et savoureux!

Ma note: ♥♥♥♥(♥)

J’ai lu: Seul l’espoir apaise la douleur de Simone Veil

Hello tout le monde !

Je vous retrouve aujourd’hui pour vous parler du document Seul l’espoir apaise la douleur qui s’agit d’une retranscription écrite du témoignage audio de Simone Veil pour l’INA et la Fondation pour la Mémoire de la Shoah

 ♥ = Bof bof, à éviter

♥♥ = Sympa, sans plus

♥♥♥ = Pas mal du tout , j’ai passé un bon moment !

♥♥♥♥ = A lire absolument !

♥♥♥♥♥ = Attention, gros coup de cœur !

Les (♥) représentent les demis 

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seul l'espoir apaise la douleur

Nombre de pages: 224 pages

Maison d’édition: Flammarion (France Loisirs pour mon édition)

Date de parution (dans cette édition): 19 octobre 2022

4ème de couverture:

Mai 2006. Pour l’INA et la Fondation pour la Mémoire de la Shoah, face caméra, Simone Veil déroule le film de sa vie. Le soleil de Nice, une famille unie, républicaine et laïque, l’insouciance, la guerre, l’Occupation… Et, le 13 avril 1944, le convoi 71 à destination d’Auschwitz avec sa mère et sa sœur. C’est la première fois qu’avec une grande liberté Simone Veil raconte le froid, la faim, les humiliations, les camarades, le rapport entre les hommes et les femmes, ses dix-huit mois dans les camps, mais aussi le retour, les nouvelles humiliations, son engagement pour la mémoire. Seul l’espoir que la Shoah ne sera pas oubliée apaise la douleur. Un texte inédit, un témoignage pour l’histoire, un récit bouleversant.

Mon avis:

Un témoignage poignant et terriblement touchant, où l’on ressent toute l’émotion de Simone Veil quand elle raconte les événements. Parfois, il manque la fin d’une phrase, elle a du arrêter de parler, terrassée par la douleur et l’horreur de ses souvenirs.

Ces pauses dans le récit nous donnent vraiment l’impression d’entendre dans notre tête la voix de Simone Veil.

Je connaissais déjà l’histoire de Simone Veil dans les camps car j’ai déjà lu plusieurs livres à son sujet mais là j’ai trouvé que c’était différent, car raconté des années après, avec le recul de sa vie adulte en partie derrière elle. 

(…) la chose qui est vraiment effroyable, c’est la mort des enfants. C’est insupportable. Insupportable de penser à ces enfants qui ont été séparés de leur mère, qui sont arrivés là comme ça, tout petits, ou dans les bras d’une éducatrice pour aller à la chambre à gaz. C’est insupportable. Insupportable. (elle marque une pause)

Quand on voit toutes ces photos des enfants… Aujourd’hui, on a ses photos dans on appareil et tout le monde en a, mais à l’époque, on prenait des photos pour les fêtes, alors les enfants sont endimanchés, bien coiffés, avec un joli sourire… Au musée de Malines, en Belgique, c’est terrible, ils ont retrouvé des photos de familles, on voit les disparitions au fur et à mesure… c’est insupportable. Quand on pense aux enfants, on se dit, mais quelle haine il faut pour pouvoir tuer des …. aller chercher un bébé…

Seul l’espoir apaise la douleur, de Simone Veil, pages 134-135

On sent derrière les répétitions de certains termes combien la guerre l’a dévastée et marquée à vie. Comment peut-on comprendre la folie des hommes? Comment peut-on se faire à l’idée que certaines personnes ont souhaité la mort d’autant de personnes pour la seule raison de leur appartenance à la communauté juive?

Bref, un témoignage lumineux et lucide sur l’une des périodes les plus sombres de notre Histoire. 

A lire et à relire.

Ma note: ♥♥♥♥♥


J’ai lu: L’éblouissement des petites filles de Timothée Stanculescu

Hello tout le monde !

Je vous retrouve aujourd’hui pour vous parler du roman L’éblouissement des petites filles de l’autrice française Timothée Stanculescu. Il s’agit de son premier roman.

 ♥ = Bof bof, à éviter

♥♥ = Sympa, sans plus

♥♥♥ = Pas mal du tout , j’ai passé un bon moment !

♥♥♥♥ = A lire absolument !

♥♥♥♥♥ = Attention, gros coup de cœur !

Les (♥) représentent les demis 

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l'éblouissement des petites filles

Nombre de pages: 367 pages

Maison d’édition: Flammarion

Date de parution (dans cette édition): 18 août 2021

4ème de couverture:

« Comme j’ai hâte, comme j’ai hâte d’arriver à cet âge où on n’est plus trop jeune. » Justine vit seule avec sa mère à Cressac, un village où il ne se passe jamais rien. Sauf cet été, puisqu’Océane a disparu. Justine la connaît de vue, elles sont dans le même lycée. Sa disparition qui se prolonge donne à ce début d’été qui ne promettait qu’ennui une couleur trouble. Son absence réveille chez Justine une soif impérieuse de partir loin d’ici, seule ou avec un garçon – « comment font-elles, toutes les autres, pour trouver quelqu’un ? ». Ce premier roman est un voyage dans l’intériorité fiévreuse d’une adolescente qui refuse d’être une fille sans histoires dans une campagne sans histoires. La précision et la sensualité de l’écriture de Timothée Stanculescu restituent au plus près la vérité d’un âge qui ne transige avec rien et nous rappellent avec quelle intensité, adolescents, nous rêvions et désirions.

Mon avis

Dans ce roman, on suit Justine, une adolescente qui vit dans un petit village où il ne se passe pas grand chose, jusqu’à la disparition d’Océane, une fille de sa classe. Justine vit seule avec sa mère divorcée et cohabite de temps à autres avec le nouveau compagnon de celle-ci, Philippe.

Justine est une fille sans histoires mais qui commence à se sentir mise de côté par sa meilleure amie Mathilde qui a un petit ami. Alors, quand Thierry Vedel, un nouveau dans le village qui a entre 30 et 40 ans, est engagé par sa maman pour faire des travaux dans le jardin, elle commence à fantasmer dessus, à imaginer des choses. Cet homme, bien trop vieux pour elle, l’obsède totalement.

Justine est dans la période charnière entre l’enfance et l’âge adulte. Partagée entre ses rêves de petites filles et ses désirs de jeune femme. 

J’ai vraiment aimé toute la psychologie des personnages. La mère de Justine, un peu dépassée par les événements, qui ne voit pas que sa fille est attirée par son aide de jardin. Elle ne voit pas que ça bouillonne dans la tête, le coeur et le corps de sa petite fille chérie. Elle est très protectrice avec sa fille, d’autant plus que son ex mari ne s’en est jamais beaucoup soucié.

J’ai également apprécié le fait que ce soit Justine la narratrice, on a vraiment l’impression d’être dans sa tête ainsi. On ressent son tumulte intérieur avec la disparition d’Océane, dont elle n’était pas vraiment proche mais qui l’inquiète et l’obsède quand même énormément. De plus, tout le monde ne parle que de ça dans le village et les villes environnantes, donc impossible de passer à côté ou même de penser à autres choses ne serait-ce qu’une journée. En même temps, elle est un peu jalouse de sa meilleure amie qui s’éloigne peu à peu d’elle car elle passe de plus en plus de temps avec son petit copain. Elle aussi aimerait avoir des choses à partager – ou à cacher. C’est une jeune femme plutôt solitaire finalement, et qui se sent seule la plupart du temps.

L’écriture de l’autrice est fluide et très visuelle. Elle transmet également beaucoup de langueur et de sensualité par ses mots. Elle a vraiment réussi le pari de se glisser dans les pensées (pas toujours très catholiques haha) d’une adolescente finalement comme les autres. La touffeur poisseuse de l’été caniculaire durant lequel se passe l’action de ce roman appuie sur le fait que la situation est insupportable et pesante.

Je trouve que c’est un premier roman très abouti qui se déguste comme une bonne pâtisserie, même si l’histoire est pour le moins dramatique.

Je me réjouis d’ores et déjà de lire le prochain roman de cette autrice très prometteuse car j’ai aimé chaque ligne de ce livre.

Ma note: ♥♥♥♥♥


J’ai lu: Belle Greene d’Alexandra Lapierre

Hello tout le monde !

Je vous retrouve aujourd’hui pour vous parler du roman Belle Greene de l’autrice Alexandra Lapierre connue pour ses romans historiques (bien que romancés) toujours bien documentés et passionnants.

 ♥ = Bof bof, à éviter

♥♥ = Sympa, sans plus

♥♥♥ = Pas mal du tout , j’ai passé un bon moment !

♥♥♥♥ = A lire absolument !

♥♥♥♥♥ = Attention, gros coup de cœur !

Les (♥) représentent les demis 

L’image provient de mon Instagram.

belle greene

Nombre de pages: 544 pages

Maison d’édition: Flammarion

Date de parution (dans cette édition): 20 janvier 2021

4ème de couverture:

New York, dans les années 1900. Une jeune fille, que passionnent les livres rares, se joue du destin et gravit tous les échelons. Elle devient la directrice de la fabuleuse bibliothèque du magnat J.P. Morgan et la coqueluche de l’aristocratie internationale, sous le faux nom de Belle da Costa Greene. Belle Greene pour les intimes. En vérité, elle triche sur tout. Car la flamboyante collectionneuse qui fait tourner les têtes et règne sur le monde des bibliophiles cache un terrible secret, dans une Amérique violemment raciste. Bien qu’elle paraisse blanche, elle est en réalité afro-américaine. Et, de surcroît, fille d’un célèbre activiste noir qui voit sa volonté de cacher ses origines comme une trahison. C’est ce drame d’un être écartelé entre son histoire et son choix d’appartenir à la société qui opprime son peuple que raconte Alexandra Lapierre. Fruit de trois années d’enquête, ce roman retrace les victoires et les déchirements d’une femme pleine de vie, aussi libre que déterminée, dont les stupéfiantes audaces font écho aux combats d’aujourd’hui.

Mon avis:

Le personnage de Belle Da Costa Greene m’a vraiment fascinée car elle place sa passion pour les livres et les beaux objets au-dessus de tout. C’est une jeune femme à la personnalité complexe et foisonnante. 

Une femme d’origine afro-américaine mais qui arrive (ainsi que sa mère et ses frères et soeurs) à se faire passer pour blanche (elle s’invente une famille aux origines portugaises – la branche « Da Costa » pour justifier la relative matité de sa peau) en falsifiant ses documents d’identité. 

J’ai trouvé incroyable ou plus exactement vraiment terrible qu’il y ait pu avoir une loi qui disait que si vous aviez un ancêtre noir (une seule goutte de sang noir) vous étiez considéré comme noir aux yeux du monde. Dans une société très raciste et ancrée dans ses traditions pro-blancs, j’ai trouvé très courageux de la part de Belle Greene d’évoluer et de grimper tous les échelons de l’échelle sociale, en temps que femme blanche. 

J’ai adoré la suivre devenir bibliothécaire puis devoir s’occuper grâce à son franc parlé et son culot de la prestigieuse collection de livres (et autres objets d’art) du riche J.P. Morgan qui va la prendre sous son aile. Il va lui laisser les coudées franches pour acheter les livres qu’elle veut aux plus célèbres mises aux enchères, faisant d’elles la femme la plus puissante dans ce domaine d’activité. Elle sait ce qu’elle veut – et surtout ce qu’elle ne veut pas – et ne se laisse jamais marcher sur les pieds. Elle veut le meilleur pour son patron – qu’elle chérit plus que tout au monde (à égalité avec les livres bien sûr) – et se donne les moyens pour l’obtenir – au meilleur prix qui plus est.

Cependant, le poids de ce mensonge sur ses origines lui pèse chaque jour un peu plus, surtout quand elle se rend compte que son père pourrait révéler à tout moment la vérité. Et pour elle, tout s’écroulerait comme un château de cartes. Elle perdrait tout.  Tous ses partenaires commerciaux refuseraient de travailler avec une femme étiquetée comme noire, sans parler de son patron, sa plus grosse peur étant de le décevoir car elle le tient en très haute estime (même si elle pense qu’il se doute peut-être de quelque chose au fond de lui). 

Belle est une femme libre, aux multiples amants, sans jamais se fixer (car elle ne veut pas risquer d’avoir un enfant noir) mais qui vit néanmoins de grandes passions, en particulier avec des hommes mariés. (ainsi elle est sûre que des deux côtés rien de « sérieux » ne se construira).

J’ai adoré ce livre qui m’a emportée dans une ronde folle et qui m’a vraiment passionnée. Tout ce qui touche aux livres m’intéresse particulièrement évidemment mais ce livre traite également de racisme et de féminisme. Bref, c’est un roman riche et palpitant – tiré d’une histoire vraie qui plus est – dont je n’ai pas vu passer les 544 pages!

J’ai adoré voir les photos de Belle Da Costa Greene en fin de roman, ce qui m’a permit de vraiment me l’imaginer. 

Alexandra Lapierre a fourni un travail colossal et brillant pour faire revivre cette héroïne des temps (pas si) modernes. A lire absolument!

 

Ma note: ♥♥♥♥♥


J’ai lu: Une chance sur un milliard de Gilles Legardinier

Hello tout le monde !

Je vous retrouve aujourd’hui pour vous parler du roman Une chance sur un milliard de l’auteur Gilles Legardinier dont j’avais beaucoup aimé « et soudain tout change ».

 ♥ = Bof bof, à éviter

♥♥ = Sympa, sans plus

♥♥♥ = Pas mal du tout , j’ai passé un bon moment !

♥♥♥♥ = A lire absolument !

♥♥♥♥♥ = Attention, gros coup de cœur !

Les (♥) représentent les demis 

L’image provient de mon instagram.

une chance sur un milliard

Nombre de pages: 432 pages

Maison d’édition: Flammarion

Date de parution (dans cette édition): 7 octobre 2020

4ème de couverture:

Je venais d’avoir onze ans lorsque j’ai pris conscience de ce qu’était le destin. C’est drôle, en repensant à cette soirée et à tout ce qui m’est arrivé d’important depuis, je me dis que dans une vie, on ne voit jamais venir les événements qui vont vraiment compter. Depuis ce jour, plus personne ne m’a pris dans ses bras. Enfin, jusqu’à la semaine dernière. C’était encore pour m’annoncer une nouvelle qui allait dynamiter mon existence. Il n’y a pas que les insectes qui se prennent des coups de pantoufle. Je ne sais pas qui les donne, mais si c’est un dieu, il chausse grand. À travers une histoire aussi réjouissante qu’émouvante, Gilles Legardinier nous entraîne au moment où chacun doit décider de ce qui compte réellement dans sa vie. Plus de temps à perdre. Plus question de s’égarer. Se jeter sans filet. Remettre les pendules à l’heure, dire, faire, espérer. Aimer, libre comme jamais.

Mon avis:

Après un début à mon sens un peu long, j’ai vraiment été emportée par l’histoire. Le narrateur, jeune trentenaire prénommé Adrien, apprend qu’il est atteint d’une maladie malheureusement incurable et qu’il n’a plus beaucoup d’années à vivre. 

Depuis là, Adrien va vouloir remettre un peu d’ordre dans sa vie et va vouloir renouer avec la femme (qu’il pense être) de sa vie, qui l’avait quitté quelques mois plus tôt. 

Il comprend également très vite qu’il se fait manipuler par son associé dans sa propre entreprise et contrairement à certains livres où le héros se fait rouler dans la farine, là ça n’arrive pas et j’ai trouvé ça plutôt réjouissant 🙂

J’ai aimé le fait qu’Adrien veuille reprendre sa vie en main, sans se soucier de l’avis des autres. Comme il se sait condamné, il veut vraiment accomplir des choses qui lui tiennent à coeur. 

Le roman aurait pu virer au pathos mais c’est tout le talent de Gilles Legardinier qui sait toujours nous faire voir – ainsi qu’à ses personnages – le verre à moitié plein plutôt qu’à moitié vide. Adrien est drôle, intelligent et j’ai beaucoup aimé la narration à la première personne du singulier. 

Adrien est bien entouré mais ne dit rien de sa maladie pour ne pas que ses proches le prennent en pitié et changent de comportement à son égard. 

J’ai aimé retrouver la plume – faussement – légère de Gilles Legardinier qui sait inventer toute une galerie de personnages attachants (l’ex belle-mère, cash mais de très bon conseil, le meilleur ami un peu dérangé mais tellement drôle, etc.). A part les deux premiers chapitres de mise en place que j’ai trouvé un peu fouillis, le reste est un régal!

Bref, j’ai ri, j’ai tremblé et j’ai passé un excellent moment en compagnie d’Adrien. Ce roman est un hymne à la vie, à l’amitié et à l’amour. Un très bon cru!

Ma note: ♥♥♥♥(♥)