Bilan de mes lectures du mois de novembre 2018

Coucou tout le monde !

Je reviens aujourd’hui pour vous présenter mes lectures du mois de novembre 2018!

Les résumés et les images ont été pris sur Amazon.

Livres lus durant le mois : 5

 ♥ = Bof bof, à éviter

♥♥ = Sympa, sans plus

♥♥♥ = Pas mal du tout , j’ai passé un bon moment !

♥♥♥♥ = A lire absolument !

♥♥♥♥♥ = Attention, gros coup de coeur !

Les (♥) représentent les demis 

Ma fille – Jane Shemilt

Nombre de pages: 457 pages

Editeur: France Loisirs (Cherche-Midi)

Date de parution (dans cette édition): 21 avril 2016

Résumé: 

Que savons-nous vraiment de nos enfants ?

Jenny est médecin, mariée à un neurochirurgien célèbre. Ensemble, ils ont élevé trois superbes enfants. Un soir, la plus jeune, Naomi, 15 ans, ne rentre pas à la maison. Les recherches lancées à travers tout le pays restent vaines. L’adolescente a disparu. La famille est brisée.

Plus d’un an a passé et les pires scénarios envisagés – enlèvement, assassinat – semblent de moins en moins plausibles. L’enquête s’essouffle… Cependant, Jenny, désespérée et obsessionnelle, n’a pas renoncé. Elle continue à chercher. Elle sent qu’elle ne retrouvera pas sa fille si elle ne sait pas tout de sa vie. Mais faut-il vraiment vouloir tout savoir de ceux qui nous sont le plus proche ? Car les vérités qu’elle va découvrir sont loin d’être celles auxquelles elle s’attendait.

Mon avis: 

Une adolescente disparaît dans une famille d’apparence parfaite. Peu à peu, la mère va faire sa petite enquête et découvrir des choses qu’elle n’aurait jamais cru possibles concernant sa fille. J’ai eu de la peine à m’attacher aux personnages de cette histoire, la haine que porte finalement la fille à ses parents n’est pas vraiment explicable… j’ai été déçue par ce roman que je n’ai pas trouvé très intéressant car l’auteure se sert de ficelles vues et revues ce qui m’a un peu laissée sur ma faim.

Ma note: ♥♥

 

Helena – Jérémy Fel

Nombre de pages: 732 pages

Editeur: Rivages

Date de parution (dans cette édition): 22 août 2018

Résumé: 

Kansas, un été plus chaud qu’à l’ordinaire. Une décapotable rouge fonce sur l’Interstate. Du sang coule dans un abattoir désaffecté. Une présence terrifiante sort de l’ombre. Des adolescents veulent changer de vie. Des hurlements s’échappent d’une cave. Des rêves de gloire naissent, d’autres se brisent. La jeune Hayley se prépare pour un tournoi de golf en hommage à sa mère trop tôt disparue. Norma, seule avec ses trois enfants dans une maison perdue au milieu des champs, essaie tant bien que mal de maintenir l’équilibre familial. Quant à Tommy, dix-sept ans, il ne parvient à atténuer sa propre souffrance qu’en l’infligeant à d’autres… Tous trois se retrouvent piégés, chacun à sa manière, dans un engrenage infernal d’où ils tenteront par tous les moyens de s’extirper. Quitte à risquer le pire. Et il y a Helena… Jusqu’où une mère peut-elle aller pour protéger ses enfants lorsqu’ils commettent l’irréparable ? Après Les Loups à leur porte, Jeremy Fel aborde cette vertigineuse question dans une grande fresque virtuose aux allures de thriller psychologique.

Mon avis: 

J’attendais beaucoup de ce roman car j’avais lu de nombreuses critiques élogieuses à son sujet. J’ai vraiment apprécié ma lecture, même si certains personnages ont vraiment des réactions exagérées à certains moments, certains passages sont clairement dérangeants (mais ce n’est pas pour me déplaire, vous savez que j’adoooooore les romans bien noirs). De plus, je n’ai pas trop compris pourquoi le roman s’appelle Héléna alors que ce n’est pas du tout l’un des personnages principal du roman.. ou alors je suis passée complètement à côté de quelque chose 😉 l’auteur a un peu un style à la Stephen King (la folie de certains personnages), ce qui n’était pas pour me déplaire. J’ai aimé le fait que les chapitres soient vus à chaque fois du point de vue d’un autre protagoniste. Un chouette roman que j’ai eu beaucoup de plaisir à lire, mais pas un coup de coeur malheureusement !

Ma note: ♥♥♥♥

 

Vers la beauté – David Foenkinos

Nombre de pages: 223 pages

Editeur: Gallimard

Date de parution (dans cette édition): 22 mars 2018

Résumé: 

Antoine Duris est professeur aux Beaux-Arts de Lyon. Du jour au lendemain, il décide de tout quitter pour devenir gardien de salle au musée d’Orsay. Personne ne connaît les raisons de cette reconversion ni le traumatisme qu’il vient d’éprouver. Pour survivre, cet homme n’a trouvé qu’un remède, se tourner vers la beauté. Derrière son secret, on comprendra qu’il y a un autre destin, celui d’une jeune femme, Camille, hantée par un drame.

Mon avis: 

J’avais beaucoup aimé les deux derniers romans de David Foenkinos du coup quand celu-ci est sorti je me suis empressée de l’acheter. Alors bon, le sujet est grave et triste mais je n’ai pas aimé la façon dont l’auteur l’a amené. Son principal protagoniste ne fait que s’appitoyer sur lui-même alors que ce n’est pas lui la victime. De plus, je n’ai pas compris certains de ses comportements. Il devient gardien de musée pour se faire oublier mais ensuite ne peut pas s’empêcher de ramener sa fraise auprès du guide dudit musée… de plus, je trouve qu’il tombe très vite (trop vite?) sous le charme de la directrice du musée, et c’est réciproque, quelle coïncidence, là du coup, il oublie son chagrin… ! Bref, toutes ces choses ont fait que je suis passée à côté du message que voulais certainement faire passer l’auteur… dommage !

Ma note: ♥♥♥

 

Un monde à portée de main – Maylis de Kerangal

Nombre de pages: 285 pages

Editeur: Verticales

Date de parution (dans cette édition): 16 août 2018

Résumé: 

« Paula s’avance lentement vers les plaques de marbre, pose sa paume à plat sur La paroi, mais au lieu du froid glacial de la pierre, c’est le grain de la peinture qu’elle éprouve. Elle s’approche tout près, regarde : c’est bien une image. Etonnée, elle se tourne vers les boiseries et recommence, recule puis avance, touche, comme si elle jouait à faire disparaître puis à faire revenir l’illusion initiale, progresse le long du mur, de plus en plus troublée tandis qu’elle passe les colonnes de pierre, les arches sculptées, les chapiteaux et les moulures, les stucs, atteint la fenêtre, prête à se pencher au-dehors, certaine qu’un autre monde se tient là, juste derrière, à portée de main, et partout son tâtonnement lui renvoie de la peinture. Une fois parvenue devant la mésange arrêtée sur sa branche, elle s’immobilise, allonge le bras dans l’aube rose, glisse ses doigts entre les plumes de l’oiseau, et tend l’oreille dans le feuillage. »

Mon avis: 

Là encore, comme pour le roman « Vers la beauté » de David Foenkinos, il s’agit d’art. Mais de peinture de reproduction d’oeuvres ou de décors de théâtre, etc. L’histoire de ces 3 amis était sans grand intérêt, certains passages étaient intéressants (la formation à certaines techniques de peinture, même si certaines données étaient un peu trop pointues, et sans grand intérêt pour l’histoire finalement). Ceci mis à part, il y a certes une histoire d’amour, mais rien non plus de bien folichon. Pour moi, il y avait beaucoup trop de descriptions, j’avais presque envie de sauter des passages…. Un roman qui ne m’a pas touchée, mais qui était tout de même très bien écrit, l’auteure sait choisir parfaitement ses mots mais pour moi, malheureusement, ça n’a pas suffit !

Ma note: ♥♥(♥)

 

Cujo – Stephen King

Nombre de pages: 442 pages

Editeur: Le Livre de Poche

Date de parution (dans cette édition): 22 février 2006

Résumé: 

Cujo est un saint-bernard de cent kilos, le meilleur ami de Brett Camber, qui a dix ans. Un jour, Cujo chasse un lapin qui se réfugie dans une sorte de petite grotte souterraine habitée par des chauves-souris. Ce qui va arriver à Cujo et à ceux qui auront le malheur de l’approcher constitue le sujet du roman le plus terrifiant que Stephen King ait jamais écrit. Brett et ses parents, leur voisin Vic Trenton et sa femme Donna, un couple en crise, Tad, leur petit garçon, en proie depuis des semaines à des terreurs nocturnes : tous vont être précipités dans un véritable typhon d’épouvante, un cauchemar nommé Cujo… Publié il y a vingt-cinq ans, Cujo reste une des oeuvres majeures de Stephen King, et un classique de l’épouvante.

Mon avis: 

Après avoir lu quelques livres dans la même veine que Stephen King, j’avais envie de lire un livre du King que je n’avais pas encore lu et j’ai trouvé celui-ci dans ma pile à lire. J’ai trouvé l’intrigue un peu longue à démarrer, avec de longues descriptions qui n’étaient pas forcément ni intéressantes ni importantes pour l’histoire… J’ai trouvé également que certains aspects de l’histoire n’étaient pas vraiment clairs (finalement, qu’est-ce qui faisait s’ouvrir l’armoire dans la chambre du petit garçon ?). En tant que Maman, j’ai évidemment trouvé la fin horrible et dérangeante… un bon roman cependant, mais pas l’un de mes préférés de cet auteur mythique. Une chose est sûre, après avoir lu ce roman, vous laisserez un six-pack d’eau dans votre coffre de voiture !

Ma note: ♥♥♥♥

 

Et voilà, c’est tout pour mes lectures du mois de novembre ! 

On se retrouve tout prochainement pour le bilan de mes lectures du mois de décembre ainsi qu’un TAG concernant mes lectures en 2018 🙂 

Et vous, que lisez-vous ? 

Bisous !

Bilan de mes lectures du mois de novembre 2017

Coucou tout le monde !

Je reviens aujourd’hui pour vous présenter mes lectures du mois de novembre 2017!

Les résumés et les images ont été pris sur Amazon.

Livres lus durant le mois : 7

 ♥ = Bof bof, à éviter

♥♥ = Sympa, sans plus

♥♥♥ = Pas mal du tout , j’ai passé un bon moment !

♥♥♥♥ = A lire absolument !

♥♥♥♥♥ = Attention, gros coup de coeur !

La rivière des âmes – Mireille Calmel

Nombre de pages: 302 pages

Editeur: XO Editions

Date de parution (dans cette édition): 1er mars 2007

Résumé: 

Un amour impossible peut-il se renouer au-delà du temps ?

A l’aube de ses 40 ans, Maud, romancière à succès, étouffe sous le poids d’un secret. Depuis quelques semaines, sa vie si pleine et riche lui semble se fissurer. Elle entend une voix, dans sa tête, une voix d’homme. Mais à qui en parler ? On la croira folle.
Dans un grand hôpital parisien, Vincent, brillant neurologue, tente de comprendre pourquoi il ne peut oublier une inconnue entraperçue dans un grand magasin.
À l’autre bout de Paris, la nuit, un homme tue des prostituées rousses, avec une sauvagerie inouïe.

Maud, Vincent et le tueur, trois chemins de vie qui convergent inexorablement. Trois destins dont la rencontre a déjà provoqué la passion et le drame, il y a longtemps, très longtemps, dans un château du Moyen Age.
S’ils veulent conjurer ce passé, Maud et Vincent devront choisir d’affronter leurs peurs, de se battre contre leurs démons. Pour survivre, mais surtout pour gagner la confiance et l’amour de l’être qui, au-delà du temps, leur est destiné.

Mon avis: 

J’ai été tellement déçue par ce roman de Mireille Calmel ! Je suis tellement fan de ses livres historiques romancés que je m’attendais à retrouver le rythme et son style dans un environnement plus contemporain. Malheureusement, ça n’a pas été le cas, je me suis ennuyée, j’ai trouvé certaines réaction des personnages complètement déplacées (la jeune femme qui accepte de « faire l’amour » (c’est un grand mot pour un quasi viol)  pour sauver l’âme d’un assassin on en parle ??) Et certains aspects de l’histoires sont complètement occultés.  Bref, cette fois-ci, cela ne l’a pas fait pour moi !

Ma note: ♥♥

 

Phobos tome 1 – Victor Dixen

Nombre de pages: 448 pages

Editeur: R-Jeunes adultes

Date de parution (dans cette édition): 11 juin 2015

Résumé: 

Six prétendantes.
Six prétendants.
Six minutes pour se rencontrer.
L’éternité pour s’aimer.

Il veulent marquer l’Histoire avec un grand H.

Ils sont six filles et six garçons, dans les deux compartiments séparés d’un même vaisseau spatial. Ils ont six minutes chaque semaine pour se séduire et se choisir, sous l’oeil des caméras embarquées. Ils sont les prétendants du programme Genesis, l’émission de speed-dating la plus folle de l’Histoire, destinée à créer la première colonie humaine sur Mars.

Elle veut trouver l’amour avec un grand A.

Léonor, orpheline de dix-huit ans, est l’une des six élues. Elle a signé pour la gloire. Elle a signé pour l’amour. Elle a signé pour un aller sans retour…

Même si le rêve vire au cauchemar, il est trop tard pour regretter.

Mon avis: 

J’ai été surprise d’accrocher immédiatement avec le concept du roman, un speed-dating qui se passe dans l’espace. 12 jeunes gens (6 garçons et 6 filles donc) ont été choisis sur casting pour se séduire lors de séances de speed-dating qui se passent dans leur vaisseau spatial et doivent se trouver chacun un partenaire avec lequel se marier à leur arrivée sur mars. Ils formeront ensuite la première colonie humaine à vivre là-bas. Mais tout ne se passe pas comme prévu !! Je ne vais pas vous en dire plus pour ne pas vous spoiler, mais j’ai bien aimé les différents personnages, issus de différents pays du monde, en particulier Mozart, le brésilien ainsi que Kelly, l’américaine au caractère bien trempé! L’héroïne du livre est bien sûr (chauvinisme??) la française Léonor, mais je n’aime pas particulièrement son caractère. Tous les protagonistes ont des secrets à cacher et sont partis sur Mars pour repartir à zéro .. mais .. en auront-ils le temps ? J’ai déjà lu le tome 2 dont je vous parlerai dans le bilan de mes lectures du mois de décembre 😉

Ma note: ♥♥♥♥

 

Quand la nuit devient jour – Sophie Jomain

Nombre de pages: 224 pages

Editeur: Pygmalion

Date de parution (dans cette édition): 27 avril 2016

Résumé: 

« On m a demandé un jour de définir ma douleur. Je sais dire ce que je ressens lorsque je m enfonce une épine dans le pied, décrire l échauffement d une brûlure, parler des n uds dans mon estomac quand j ai trop mangé, de l élancement lancinant d une carie, mais je suis incapable d expliquer ce qui me ronge de l intérieur et qui me fait mal au-delà de toute souffrance que je connais déjà.
La dépression.
Ma faiblesse.
Le combat que je mène contre moi-même est sans fin, et personne n est en mesure de m aider. Dieu, la science, la médecine, même l amour des miens a échoué. Ils m ont perdue. Sans doute depuis le début.
J ai vingt-neuf ans, je m appelle Camille, je suis franco-belge, et je vais mourir dans trois mois.
Le 6 avril 2016.
Par euthanasie volontaire assistée. »

Mon avis: 

Je ne pensais pas être autant bouleversée par ce roman où une jeune femme, Camille, décide de mettre fin à ses jours par le biais d’une association d’aide au suicide en Belgique. La description de son mal-être, de sa détresse permanente m’ont particulièrement touchée. J’ai aimé retrouver la plume de Sophie Jomain dans un registre plus sérieux et contemporain. Une belle découverte.

Ma note: ♥♥♥♥♥

 

Donneur sain – Tess Gerritsen

Nombre de pages: 418 pages

Editeur: Calmann-Lévy

Date de parution (dans cette édition): 1997

Résumé: 

Parce qu’elle a préféré transplanter un coeur disponible à un adolescent mourant plutôt qu’à la riche Mme Voss, Abby DiMatteo, jeune chirurgienne récemment engagée dans un hôpital de Boston, se voit réprimandée par ses supérieurs et mise sous haute surveillance. Cependant, un autre coeur est trouvé pour Mme Voss. Très vite. Trop vite. Abby découvre que l’identité du donneur a été falsifiée. Quel odieux trafic se dissimule derrière la façade respectable de cet hôpital ultra©moderne ? Mark, le fiancé d’Abby, est©il de ceux qui ont intérêt à contrecarrer son enquête par tous les moyens ? La jeune femme devra affronter toutes les menaces pour découvrir la vérité, au fil d’un suspense superbement conduit.

Mon avis: 

Un bon thriller médical qui nous fait nous poser pleins de questions. Est-ce également comme ça « en vrai » ? Les riches peuvent-ils si facilement se mettre en premier sur les listes de demandeurs d’organes ? J’ai vraiment apprécié ce thriller glaçant à souhait, le rythme est haletant et on ne s’ennuie pas une seule seconde. Mêmes les descriptions médicales sont intéressantes ! J’ai hâte de lire d’autres livres de cette auteure.

Ma note: ♥♥♥♥

 

La formule de Dieu – José Rodrigues Dos Santos

Nombre de pages: 720 pages

Editeur: Pocket 

Date de parution (dans cette édition): 2 mai 2013

Résumé: 

Printemps 1951, deux espions de la CIA épient une rencontre de la plus haute importance entre David Ben Gourion, « premier » Premier Ministre de l’État d’Israël, et Albert Einstein. L’objet de leur discussion : l’obtention de l’arme nucléaire par le jeune état juif et l’existence de Dieu. Cinquante ans plus tard, Tomas Noronha, expert en cryptologie, est appelé au Caire par une mystérieuse jeune femme. Sa mission : déchiffrer un cryptogramme caché dans un document détenu par le gouvernement de Téhéran. Un manuscrit écrit de la main d’Albert Einstein dont le contenu pourrait bousculer l’ordre mondial. Tomas Noronha devient alors un agent double censé collaborer avec les Iraniens pour informer l’Occident. Mais au cours de son enquête, il découvre que le fameux manuscrit contient beaucoup plus de choses que ne l’espéraient ses différents commanditaires. Il serait tout simplement la preuve scientifique de l’existence de Dieu.

Mon avis: 

Un roman à la « Da Vinci Code » qui m’a vraiment passionnée ! J’ai plongé avec plaisir dans les écrits secrets d’Albert Einstein et j’ai aimé toutes les théories qui y sont décrites ! Ce livre est très bien écrit et le rythme du récit est très soutenu, on ne s’ennuie pas une seconde ! Apparemment il y aurait un second tome .. affaire à suivre donc 😉

Ma note: ♥♥♥♥

 

Ne pars pas sans moi – Gilly Macmillan

Nombre de pages: 480 pages

Editeur: Les Escales Editions

Date de parution (dans cette édition): 25 février 2016

Résumé: 

Par un joyeux dimanche, Rachel et son petit garçon de 8 ans se promènent en forêt. Désirant plus que tout être une bonne mère, et soucieuse de l’indépendance et de l’autonomie de son enfant, Rachel l’autorise à partir quelques mètres devant elle pour aller jouer. Arrivée au bout du chemin, l’angoisse la saisit : Ben a disparu.
Après une conférence de presse catastrophique, médias et réseaux sociaux se déchaînent. Pour eux, Rachel est responsable de la disparition de son enfant. Pourquoi n’a-t-elle pas veillé sur lui ? Comment se fait-il qu’elle ait du sang sur les mains ? Pendant que la police se lance dans une véritable course contre la montre pour retrouver Ben, Rachel se débat entre la culpabilité, le désespoir et la peur.
Rongée par le doute, assaillie par la violence de ceux qui la croient coupable et tandis que la moindre de ses certitudes s’écroule, elle ne sait plus quoi faire. Attendre patiemment que les forces de l’ordre lui ramènent son fils ou suivre son instinct et partir elle-même à sa recherche ?

Mon avis: 

L’histoire de cette mère dont le fils disparaît en forêt est très prenante et en même temps assez téléphonée. J’ai été déçue de la fin (que je ne vous dévolerai pas bien sûr), j’ai trouvé que le début de l’histoire était assez long pour un final plutôt bâclé, comme si l’auteure en avait eu marre et avait eu envie de boucler son roman.  Dommage, cela commençait bien !

Ma note: ♥♥♥

 

La beauté des jours – Claudie Gallay

Nombre de pages: 420 pages

Editeur: Actes Sud

Date de parution (dans cette édition): 16 août 2017

Résumé: 

Jeanne mène une vie rythmée par la douceur de l’habitude. Elle était jeune quand elle a épousé Rémy, ils ont eu des jumelles, sont heureux ensemble et font des projets raisonnables. Mais Jeanne aime aussi le hasard, les surprises de l’inattendu. L’année du bac, un professeur lui avait fait découvrir l’artiste serbe Marina Abramovic. Fascinée par cette femme qui engage son existence dans son travail, Jeanne a toujours gardé une photographie de sa célèbre performance de Naples : comme un porte-bonheur, la promesse qu’il est possible de risquer une part de soi pour vivre autrement. Quand Jeanne s’amuse à suivre tel ou tel inconnu dans la rue ou quand elle calcule le nombre de bougies soufflées depuis son premier anniversaire, c’est à cet esprit audacieux qu’elle pense. Surtout cet été-là. Peut-être parce que, les filles étant parties, la maison parait vide ? Ou parce que sa meilleure amie, qui s’est fait plaquer, lui rappelle que rien ne dure ? Ou parce qu’elle recroise un homme qu’elle a aimé, adolescente ? Jeanne se révèle plus que jamais songeuse et fantasque, prête à laisser les courants d’air bousculer la quiétude des jours. A travers la figure lumineuse de Jeanne et la constellation de personnages qui l’accompagnent et la poussent vers un accomplissement serein, Claudie Gallay compose un roman chaleureux et tendre sur la force libératrice de l’art, sur son pouvoir apaisant et révélateur. Et sur la beauté de l’imprévisible.

Mon avis: 

J’ai eu un peu de peine à me mettre dans l’histoire car les phrases et les chapitres sont courts, les tournures de phrases font très « paysannes », il faut s’y habituer. Et finalement, je me suis laissée emportée, l’histoire de cette mère de famille qui n’aspire qu’à la nouveauté et à briser sa (pas si) morne routine est prenante, on se fait vite prendre dans l’histoire, même si finalement il ne s’y passe pas grand chose. Un roman qui se lit d’une traite et qui fait réfléchir sur le sens de notre vie.

Ma note: ♥♥♥♥

 

Et voilà, je vous prépare très vite l’article pour mes lectures du mois de décembre !

Et vous, vous avez lu certains de ces livres ? Dites-moi tout 🙂

Dites-moi également si vous aimeriez qu’en 2018 je vous fasse un article par livre (un peu plus fouillé) ou si vous préférez que je continue les bilans mensuels ?

Bisous !