[SP]J’ai lu: Se construire par l’échec de Bernard Wirz et Sergei Ashwanden

Hello tout le monde !

Je vous retrouve aujourd’hui pour vous parler du documentaire/témoignage Se construire par l’échec écrit à 4 mains par Bernard Wirz et Sergei Ashwanden que j’ai eu la chance de recevoir de la part des éditions Slatkine. 

 ♥ = Bof bof, à éviter

♥♥ = Sympa, sans plus

♥♥♥ = Pas mal du tout , j’ai passé un bon moment !

♥♥♥♥ = A lire absolument !

♥♥♥♥♥ = Attention, gros coup de cœur !

Les (♥) représentent les demis 

L’image provient de mon Instagram.

Nombre de pages:  224 pages

Maison d’édition: Slatkine

Date de parution (dans cette édition): 13 octobre 2023

4ème de couverture:

Dépasser ses limites, vivre pleinement ses émotions, faire fi de l’adversité, ne jamais baisser les bras… tel est le credo de Sergei Aschwanden, figure du judo helvétique et international dont le palmarès en ferait pâlir plus d’un. Il livre ici sa compréhension du monde et des autres, fortement inspirée par son passé de sportif professionnel. Car la pratique du judo a façonné son caractère, lui inculquant la combativité, le respect d’autrui, l’opiniâtreté, le goût du travail bien fait. Comme point d’orgue de son parcours exceptionnel, la médaille de bronze aux Jeux olympiques de Pékin, en 2008, après deux échecs : une victoire qui prouve que tout est possible à qui sait persévérer. Fort de sa connaissance fine des budo et de leur philosophie, Bernard Wirz apporte son éclairage au lecteur néophyte, inscrivant la pensée et le parcours du champion dans la grande histoire des arts martiaux. Au fil des pages se tisse un dialogue entre deux hommes unis par une même passion. Comment les enseignements du judo, fil rouge de leur existence et de cet ouvrage, s’appliquent-ils à la vie de tous les jours ? Qu’apporte le sport de haut niveau, avec le niveau d’exigence qu’il implique, à celui qui le pratique ou le pratiquait ?

Mon avis:

Je ne connaissais pas grand chose au monde du Judo et j’ai aimé en savoir plus sur ce sport où avoir un mental d’acier est primordial.

Ancien champion olympique, Sergei Ashwanden nous raconte comment il s’est toujours servi de ses échecs pour rebondir et s’améliorer, que ce soit dans le sport ou dans sa vie privée.

De son côté, Bernard Wirz entrecoupe le récit de Sergei en nous expliquant plus en détails certaines règles sportives ou en nous précisant certaines choses qui nous aide à mieux appréhender ce témoignage. Tous les rites et les traditions autour de ce sport sont assez fascinants. 

Le seul petit bémol est que je pensais que l’ouvrage allait aborder plus en surface la vie de Sergei et plus se focaliser sur son mental et ses conseils pour surmonter les épreuves mais finalement on parle quand même beaucoup de sa carrière.

J’ai trouvé néanmoins ce livre très intéressant et même si je ne suis pas sportive, certaines règles de vie me seront utiles au quotidien pour voir les choses du bon côté! Sergei Ashwanden est définitivement une personne très inspirante! 

Ma note: ♥♥♥(♥)


Un grand merci aux éditions Slatkine l’envoi de ce SP!

J’ai lu: Toucher la terre ferme de Julia Kerninon

Hello tout le monde !

Je vous retrouve aujourd’hui pour vous parler du roman Toucher la terre ferme de l’autrice française Julia Kerninon dont j’avais adoré le roman précédent, Liv Maria.

 ♥ = Bof bof, à éviter

♥♥ = Sympa, sans plus

♥♥♥ = Pas mal du tout , j’ai passé un bon moment !

♥♥♥♥ = A lire absolument !

♥♥♥♥♥ = Attention, gros coup de cœur !

Les (♥) représentent les demis 

L’image provient de mon instagram.

toucher la terre ferme

Nombre de pages: 115 pages

Maison d’édition: L’Iconoclaste

Date de parution (dans cette édition): 13 janvier 2022

4ème de couverture:

J’étais là, un bébé parfait dans les bras, et mon corps déchiré. Dans mon orgueil comme dans mon innocence, j’ai pensé que tout s’arrêtait, alors qu’au contraire, tout commençait.
Un soir de novembre, en pyjama sur le parking de la clinique, Julia Kerninon hésite à fuir. Son premier enfant vient de naître et, malgré le bonheur apparent, elle perd pied, submergée par les doutes et la peur des contraintes. Sa vie d’avant lui revient comme un appel au large : les amours passionnels, les nuits de liberté et les vagabondages sans fin.
Dans ce récit intime, Julia Kerninon plonge au coeur des sentiments ambigus de la maternité.
Elle confie ses tempêtes intérieures : Comment être mère ? Comment rester soi ?
Elle raconte cette longue traversée jusqu’à atteindre la terre ferme, où tout se réconcilie.

Mon avis:

Un roman autobiographique lu d’une traite un soir.

J’ai aimé le ton donné à ce livre, les doutes de l’autrice, ses regrets parfois, tout ce qui fait que nous sommes des humains confrontés à l’inconnu qu’est la parentalité. Cette peur de disparaître au profit de ses enfants, de perdre son individualité. N’exister que par eux, que pour eux.

J’ai compris qu’il n’y aurait pas de retour, juste des échappées.

Toucher la terre ferme de Julia Kerninon, page 32

Ce récit m’a profondément touchée et a résonné en moi étant moi-même maman et étant personnellement passée par toutes ces phases de questionnement.

La plume de Julia Kerninon est vraiment agréable et le thème universel qu’elle a choisi est abordé avec beaucoup de sensibilité. 

Un écrit court mais intense que je ne peux que vous conseiller si le sujet de la maternité et des bouleversements qu’elle entraîne vous intéresse.

Ma note: ♥♥♥♥(♥)