J’ai lu: Nuits blanches en Oklahoma (nouvelles)

Hello tout le monde !

Je vous retrouve aujourd’hui pour vous parler du recueil de nouvelles Nuits blanches en Oklahoma de 5 différents auteurs: Nicolas Feuz, David Ruiz Martin, Sandra Morier, Catherine Rolland et Lolvé Tillmanns.

 ♥ = Bof bof, à éviter

♥♥ = Sympa, sans plus

♥♥♥ = Pas mal du tout , j’ai passé un bon moment !

♥♥♥♥ = A lire absolument !

♥♥♥♥♥ = Attention, gros coup de cœur !

Les (♥) représentent les demis 

L’image provient de mon instagram.

Nombre de pages: 235 pages

Maison d’édition: Okama

Date de parution (dans cette édition): septembre 2020

4ème de couverture:

Une maison perdue en Oklahoma, un évènement arrivant tous les matins à 3h11 la nuit d’Halloween, cinq auteurs pour écrire leur version de l’histoire. Des adolescents en mal de sensations ou un agent immobilier très décidé, une gentille famille, une écrivaine en quête d’inspiration ou un jeune garçon sur la route des vacances… Tiendront-ils jusqu’au matin ? Êtes-vous prêts à affronter l’impensable ?

Mon avis:

Un recueil de nouvelles qui regroupe, sur le même thème, 5 nouvelles de 5 autrices et auteurs suisses. Mais que s’est-il passé à 3h11, la nuit d’Halloween, dans une maison perdue dans l’Oklahoma ? C’est à cet exercice plutôt particulier que se sont prêtés nos 5 talentueux écrivains 😊!

Chaque nouvelle a son identité propre malgré le thème récurrent. J’ai retrouvé avec plaisir la nouvelle « les passeurs » de Nicolas Feuz que j’avais déjà lue dans son recueil de nouvelles éponyme. Elle fait à chaque fois son petit effet !

J’ai eu un coup de cœur pour la nouvelle écrite par David Ruiz Martin, « la fille aux yeux de perle », que j’ai trouvée très touchante. Cette maison abandonnée et soi-disant hantée où des ados se lancent le pari de passer plusieurs nuits et où ils vont rencontrer une jeune fille inconnue au bataillon était vraiment passionnante (et un peu flippante aussi).

Toutes les nouvelles nous plongent dans une ambiance mystérieuse et frissonnante et aucune ne vous laissera indifférents! Leur longueur était juste parfaite, ni trop longue ni trop courte, ce qui peut parfois frustrer le lecteur.

Je dois toutefois avouer que j’ai moins accroché à la première nouvelles écrite par Lolvé Tillmanns, qui était moins structurée que les 4 autres à mon sens, même si le propos était orignal.

Un recueil de nouvelles original et parfait pour la saison automnale! (ouf je suis encore juste dans les temps avec mon article! 😉 )

Je dois lire un autre recueil avec le même principe de base (un thème commun), « le Noël de Sire Thomas », dans les prochaines semaines et me réjouis de vous en reparler!

Ma note: ♥♥♥♥(♥)


[SP]J’ai lu: Les passeurs ou autres nouvelles de Nicolas Feuz

Hello tout le monde !

Je vous retrouve aujourd’hui pour vous parler du recueil de nouvelles Les Passeurs et autres nouvelles de l’auteur (qu’on ne présente plus) Nicolas Feuz et que j’ai eu la chance de recevoir de la part des Editions OKAMA/BSN Press. Toutes les nouvelles qui composent ce livre ont déjà été publiées dans d’autres recueils de nouvelles ou dans la presse.

 ♥ = Bof bof, à éviter

♥♥ = Sympa, sans plus

♥♥♥ = Pas mal du tout , j’ai passé un bon moment !

♥♥♥♥ = A lire absolument !

♥♥♥♥♥ = Attention, gros coup de cœur !

Les (♥) représentent les demis 

L’image provient de mon Instagram.

Nombre de pages:  206 pages

Maison d’édition: OKAMA/BSN Press, collection OKA’Poche Tenebris

Date de parution (dans cette édition): avril 2023

4ème de couverture:

Ce recueil de nouvelles et novellas du talentueux auteur Nicolas Feuz propose un éventail de courts, écrits dans différents genres littéraires. Il nous emmène sur les sentiers du polar, de la littérature fantastique et du gore dans cette nouvelle collection Oka’poche : Tenebris. Laissez-vous porter dans des univers étranges, parfois à vous glacer le sang. Que cela soit au cours d’une rencontre avec un mystérieux Anglais coiffé d’un chapeau melon, dans une ferme perdue en Oklahoma ou encore dans des bains thermaux singuliers, ces histoires ne vous laisseront pas de marbre.

Mon avis:

J’ai adoré le ton irrévérencieux de ces nouvelles où l’humour noir de l’auteur est omniprésent (et jubilatoire). On sent que Nicolas Feuz s’est beaucoup amusé en écrivant ces histoires,  l’auteur sachant toujours mettre le doigt sur la noirceur la plus crasse du genre humain.

C’est noir, sanglant, on y trouve des déviances sexuelles, des personnes qui se font massacrer. Ames sensibles s’abstenir.

Mes deux nouvelles préférées sont sans nul doute les deux plus longues (et peut-être les deux plus soft) soit celle qui a donné son titre au recueil, les passeurs, où l’on suit une famille suisse qui fait un road trip sur la route 66 et qui va devoir demander de l’aide dans une ferme où vivent trois personnes pour le moins inquiétantes…une histoire mystérieuse et un poil effrayante.

La seconde est « dernier Noël à Trapellun » qui parle d’un homme veuf et de son fils qui partent vider la maison de son père décédé dans le hameau de Trapellun. Tout aurait pu se passer de manière idyllique si le garçon ne commençait pas à avoir des visions et si les lieux ne changeaient pas tous seuls de configuration 😅 une nouvelle angoissante et impossible à lâcher! 

Aucune de ces nouvelles ne vous laissera indifférents. Vous passerez par toute la palette des émotions: le joie (un peu sadique c’est vrai), la peur, le dégoût… c’est là tout le talent de l’auteur.

Avec ce recueil de nouvelles, Nicolas Feuz montre une fois encore qu’il est capable d’écrire sur des sujets divers et variés et de créer des histoires qui tiennent la route, qu’elles soient longues ou courtes.

Chapeau bas!

Ma note: ♥♥♥♥


Un grand merci aux éditions OKAMA/BSN PRESS pour l’envoi de ce SP!

[SP]J’ai lu: Plaisir de lire, nouvelles inédites

Hello tout le monde !

Je vous retrouve aujourd’hui pour vous parler du recueil de nouvelles Plaisir de lire, nouvelles inédites écrites par un collectif d’autrices et d’auteurs suisses romands et que j’ai eu la chance de recevoir de la part des Editions Plaisir de lire

 ♥ = Bof bof, à éviter

♥♥ = Sympa, sans plus

♥♥♥ = Pas mal du tout , j’ai passé un bon moment !

♥♥♥♥ = A lire absolument !

♥♥♥♥♥ = Attention, gros coup de cœur !

Les (♥) représentent les demis 

L’image provient de mon Instagram.

Nombre de pages:  144 pages

Maison d’édition: Plaisir de lire, collection Hors d’oeuvres

Date de parution (dans cette édition): février 2023

4ème de couverture:

Plaisir de Lire fête ses 100 ans en 2023! Pour l’occasion, la maison d’édition lausannoise a lancé un concours d’écriture ouvert sur le thème du plaisir de lire. Seize autrices et auteurs de Suisse romande ont répondu à l’appel et marché sur les traces de des grands écrivain-es de notre catalogue – Maurice Chappaz, Corinna Bille, Alice Curchod, Cilette Ofaire, Charles-Ferdinand Ramuz – pour raconter leur amour du livre et de la littérature…

Mon avis:

Pour la grande amoureuse des livres que je suis, la lecture de ce recueil de nouvelles a été une évidence.

Toutes les nouvelles sont plutôt courtes ce qui est je l’avoue mon format préféré (quand il s’agit de nouvelles bien entendu), j’aime quand cela va droit au but, que c’est percutant. De plus, bien qu’elles aient toutes en commun le même thème soit « le plaisir de lire », elles sont toutes différentes mais se complètent toutes, formant les pièces d’un seul et même puzzle.

Gros coup de coeur pour « Poste restante » de Maud Hagelberg, qui parle d’un pilote de l’aéropostale. Cette nouvelle m’a bouleversée car malgré son format très bref (3 pages) elle a su me toucher en plein cœur et m’arracher des larmes.

De nombreux passages d’autres nouvelles ont également trouvé un écho en moi. 

Cette passion presque charnelle pour l’objet livre, ce plaisir de découvrir chaque jours de nouveaux horizons. Voyager sans même bouger de chez soi.

Lire, c’est créer un univers , le parcourir du bout des doigts, du bout des yeux. Lire, c’est devenir Dieu pour soi-même, vivre plusieurs vies en une seule, étirer le temps. Assumer le vertige. Sombrer dans l’immensité, en prendre conscience, relever la tête et admirer la myriade d’étoiles, en ressentir une douce chaleur comme autant de soleils, comme autant de lucioles guidant nos pas dans les nuits de nos vies.

Extrait de la nouvelle « Les mots d’en enfance » de Benjamin Jichlinski, paru dans le recueil « Plaisir de lire, nouvelles édites » (page 32)

On ressent vraiment dans toutes les nouvelles la passion qu’ont les autrices et auteurs pour le sujet abordé!

Un grand merci aux éditions Plaisir de Lire d’avoir édité ce fabuleux recueil de nouvelles que tout amoureux des livres se doit d’avoir dans sa bibliothèque!

Ma note: ♥♥♥♥♥


Un grand merci aux éditions Plaisir de lire pour l’envoi de ce SP!