[TAG] Mes lectures en 2018 (inspiré par PKJ)

Coucou tout le monde !

J’espère que l’année 2019 (bien entamée) se passe bien pour vous pour le moment !

C’est en recevant la newsletter de PKJ avec le TAG de fin d’année que j’ai eu l’idée de vous proposer en article mes réponses à celui-ci ! J’ai juste changé la question No 3 qui était le meilleur roman PKJ lu en 2018 mais comme je ne lis pas beaucoup de littérature jeunesse, cela ne collait pas trop avec mon blog. J’ai donc modifié la question en quel est le meilleur roman de poche lu cette année 😉

J’espère que ce petit article vous intéressera et vous donnera éventuellement des idées de lecture !

 

1) Mes trois meilleures lectures de l’année.

  • Les mémoires d’un chat de Hiro Arikawa
  • Nous rêvions juste de liberté de Henri Loevenbruck
  • Feed tome 1 de Mira Grant

2) Mes trois plus grandes déceptions.

  • Je m’appelle Radar de Reif Larsen
  • On la trouvait plutôt jolie de Michel Bussi
  • Les Outrepasseurs tome 4: Ferenusia de Cindy Van Wilder

3) Le meilleur roman de poche lu cette année.

  • Nous rêvions juste de liberté de Henri Loevenbruck

4) Le premier livre lu en 2018.

  • La terre des mensonges de Anne B. Radge

5) Le dernier livre lu en 2018.

  • Voici venir les rêveurs d’Imbolo Mbue

6) Le livre avec la plus belle couverture.

  • J’agonise fort bien, merci de Oren Miller

7) Une saga que j’ai terminée.

  • La trilogie « Mr Mercedes » de Stephen King (2 tomes lus en 2018)

8) Le meilleur nouvel auteur lu.

  • La femme à la fenêtre de A.J. Finn

9) La maison d’édition la plus lue.

  • Actes Sud

10) Le dernier livre qui a intégré ma bibliothèque.

  • Agatha de Frédéric Deghelt

11) Le roman que j’attendais le plus en 2018.

  • Le miroir des âmes, le dernier roman de Nicolas Feuz, le premier qui n’était pas en auto-édition ! (édité chez Slatkine & Cie)

12) Le livre que j’ai le plus conseillé.

  • Je suis Pilgrim de Terry Hayes

13) Le livre dont tout le monde parlait (que je l’aie lu ou non).

  • La disparition de Stéphanie Mailer de Joël Dicker (toujours dans ma pal… je vais essayer de l’en sortir prochainement!)

14) Mon meilleur souvenir lié aux livres.

  • Le salon du livre de Genève ainsi que Morges sur les quais où j’ai pu rencontrer pleins d’auteurs 🙂

15) Les 3  livres que j’attends le plus en 2019.

  • Les nouveaux thrillers de Nicolas Feuz, Stephen King et Marc Voltenauer 🙂

J’espère que cet petit TAG vous aura plu !

Bisous !

[SP] J’ai lu: Le miroir des âmes de Nicolas Feuz

Hello à tous !

Ce n’est pas la première fois que je vous parle de l’auteur suisse Nicolas Feuz sur mon blog puisque j’ai déjà écrit les chroniques d’Emorata, Eunoto, Ilmoran et Horrora Borealis 🙂 (cliquez sur les noms pour lire mon avis!)

Pour ceux qui malgré tout ne connaissent pas cet auteur, voici une petit cours de rattrapage: Nicolas Feuz est procureur de l’Etat de Neuchâtel et jusqu’à présent, il s’auto-éditait (The BookEdition). Pour ce nouveau roman, Le miroir des âmes, il a enfin été signé par une maison d’édition et pas des moindres, puisqu’il s’agit de la maison parisienne Slatkine & Cie, qui, l’année passée, a également publié l’un de ses amis, Marc Voltenauer.

Pour l’avoir rencontré à plusieurs reprises et avoir eu l’occasion de discuter avec, Nicolas Feuz est une personne très sympathique, passionnée par ses deux casquettes (procureur et auteur) et surtout, il est passionnant à écouter raconter ses anecdotes, plein d’humour et d’autodérision.

Par conséquent, quand le service presse de son prochain roman à paraître, le miroir des âmes, m’a été envoyé par Slatkine & Cie, j’ai littéralement sauté de joie.

Pour les impatients – et ça se comprend! – , le roman sort le jour de parution de cet article soit le 23 août 2018.

Résumé

Contrairement à la plupart de mes chroniques, je ne peux pas tellement vous faire un résumé du roman, de peur de vous en dévoiler trop.

Je dirai simplement que le roman commence après un attentat sur la place des Halles à Neuchâtel et qu’un tueur en série qui se fait appeler « le Vénitien » fait un carnage aux quatre coins du canton.

Encore une fois, Nicolas Feuz a su brouiller les pistes, souffler le chaud et le froid, on ne sait plus qui est honnête ou qui ne l’est pas, et cela même au sein de la police.

Mon avis

Le roman est assez court, plus court que les romans précédents de l’auteur. Il compte 261 pages et je dois dire que je l’ai dévoré en moins de 3h!

Les chapitres font presque tous 2 pages, ce qui aide à créer une atmosphère oppressante et à maintenir une tension perpétuelle. C’est presque fébrile que je tournais les pages!

On a toujours envie de lire un chapitre de plus pour connaître la suite… le signe d’une intrigue réussie.

Les descriptions des lieux sont comme d’habitude pour l’auteur plutôt détaillées, mais pas autant que dans ses romans précédents. Pour les habitués du canton de Neuchâtel, vous n’aurez aucun mal à vous repérer par rapport aux descriptions faites ! Cela donne même envie d’aller se balader… ou pas !

Certaines scènes nécessiteront d’avoir l’estomac bien accroché, âmes sensibles s’abstenir ! Pour ma part, en grande amatrice de thrillers, je suis une habituée des scènes de meurtres gores. Cependant, les descriptions faites des tortures infligées aux victimes m’ont tout de même fait un peu transpirer à des moments… objectif atteint!

On remarquera au passage la sublime couverture représentant la tour de Chaumont… qui contraste avec l’horreur qui s’y prépare.

J’ai aimé les personnages introduits dans ce roman auxquels on s’attache rapidement, je ne peux pas trop vous en parler, encore une fois de peur de trop vous en dire…. à part le fait que l’auteur les malmène du début à la fin ! En tout cas, je suis d’ores et déjà impatiente de les retrouver dans son prochain roman qui paraîtra déjà l’année prochaine d’après son éditeur. L’auteur a déjà posé de bonnes bases pour que la suite soit des plus passionnantes!

Dire que j’ai hâte serait un euphémisme ! 

J’ai littéralement dévoré ce roman et ne peux que vous le conseiller si vous êtes amateur/amatrice de thrillers bien ficelés!

Ma note: ♥♥♥♥♥/5

Vous pourrez trouver ce roman dès le 23 août 2018 dans toutes les bonnes librairies 🙂

Alors, tenté(e)s ??

De plus, un bonheur ne venant jamais seul, les livres précédents de l’auteur vont être republiés au Livre de Poche, en commençant par Horrora Borealis, que vous pouvez déjà trouver dans les rayons car il est sorti le 22 août 2018!

 

Je remercie Nicolas Feuz ainsi que les éditions Slatkine & Cie pour l’envoi de ce SP !

Bilan de mes lectures du mois de juillet 2018

Coucou tout le monde !

Je reviens aujourd’hui pour vous présenter mes lectures du mois de juillet 2018! 

Les résumés et les images ont été pris sur Amazon.

J’avais dans l’idée de vous faire un article par livre mais après je me suis dit que ceux qui sont abonnés à ma newsletters allaient me bénir du coup je garde ce format-ci (bilan mensuel) mais je pense que de temps en temps, en plus des services presse, je vais mettre un roman que j’ai particulièrement aimé en avant. J’aimerais également vous parler des mes lectures mangas et bandes dessinées ! J’espère que cette idée vous plaira!

Livres lus durant le mois : 5

 ♥ = Bof bof, à éviter

♥♥ = Sympa, sans plus

♥♥♥ = Pas mal du tout , j’ai passé un bon moment !

♥♥♥♥ = A lire absolument !

♥♥♥♥♥ = Attention, gros coup de coeur !

Les (♥) représentent les demis 

L’amie prodigieuse (tome 1) – Elena Ferrante

Nombre de pages: 448 pages

Editeur: folio

Date de parution (dans cette édition): 1er janvier 2016

Résumé: 

«Je ne suis pas nostalgique de notre enfance : elle était pleine de violence. C’était la vie, un point c’est tout : et nous grandissions avec l’obligation de la rendre difficile aux autres avant que les autres ne nous la rendent difficile.» Elena et Lila vivent dans un quartier pauvre de Naples à la fin des années cinquante. Bien qu’elles soient douées pour les études, ce n’est pas la voie qui leur est promise. Lila abandonne l’école pour travailler dans l’échoppe de cordonnier de son père. Elena, soutenue par son institutrice, ira au collège puis au lycée. Les chemins des deux amies se croisent et s’éloignent, avec pour toile de fond une Naples sombre, en ébullition. L’amie prodigieuse, Le nouveau nom et Celle qui fuit et celle qui reste sont les trois premiers tomes de la saga d’Elena Ferrante, qui se conclut avec L’enfant perdue.

Mon avis: 

J’avais tellement entendu de bien de cette série (à ce jour, 4 tomes sont sortis il me semble!) que j’avais un peu d’appréhension à l’idée de me lancer, comme toujours quand quelque chose fait le buzz, je suis toujours un peu méfiante.  Je me suis dit que commencer cette série en été était juste parfait, car l’intrigue se passe à Naples, dans les années 50, au beau milieu d’un été caniculaire. (même si les faits se passent sur plusieurs années, il me semble que c’est toujours l’été, il doit y avoir des ellipses temporelles lors des autres saisons haha)

Nous suivons donc deux « amies », Elena et Isabella, dite Lila, de leur plus tendre enfance à leur adolescence. J’ai mis volontairement amies entre guillemets car finalement, il s’agit plus de rivalités entre les deux qu’une réelle amitié, même si elles sont attachées l’une à l’autre. Lila, la jeune fille belle et surdouée qui se voit forcée d’arrêter ses études par manque de moyens financiers et Elena, la jeune fille banale, pas bête mais pas non plus exceptionnelle, qui peut elle faire des études (et s’en vante bien auprès de sa copine). L’amie prodigieuse du titre c’est donc Lila la magnifique, cette jeune fille que finalement tout le monde envie et admire. J’ai aimé les personnages de ce roman, l’ambiance moite qui règne et les histoires entre tous les protagonistes, même si parfois on s’y perd un peu, heureusement qu’il y a un lexique des noms pour s’y retrouver plus facilement. Une très belle lecture pour moi même si le style est assez touffu, j’ai hâte de lire la suite qui est déjà dans ma PAL 🙂

Ma note: ♥♥♥♥

 

La salle de bal – Anna Hope

Nombre de pages: 400 pages

Editeur: Gallimard

Date de parution (dans cette édition): 17 août 2017

Résumé: 

Lors de l’hiver 1911, l’asile d’aliénés de Sharston, dans le Yorkshire, accueille une nouvelle pensionnaire : Ella, qui a brisé une vitre de la filature dans laquelle elle travaillait depuis l’enfance. Si elle espère d’abord être rapidement libérée, elle finit par s’habituer à la routine de l’institution. Hommes et femmes travaillent et vivent chacun de leur côté : les hommes cultivent la terre tandis que les femmes accomplissent leurs tâches à l’intérieur. Ils sont néanmoins réunis chaque vendredi dans une somptueuse salle de bal. Ella y retrouvera John, un « mélancolique irlandais ». Tous deux danseront, toujours plus fébriles et plus épris. A la tête de l’orchestre, le docteur Fuller observe ses patients valser. Séduit par l’eugénisme et par le projet de loi sur le Contrôle des faibles d’esprit, Fuller a de grands projets pour guérir les malades. Projets qui pourraient avoir des conséquences désastreuses pour Ella et John. Après Le chagrin des vivants, Anna Hope parvient de nouveau à transformer une réalité historique méconnue en un roman subtil et puissant, entraînant le lecteur dans une ronde passionnée et dangereuse.

Mon avis: 

J’avais adoré le livre précédent de l’auteure, « le chagrin des vivants » donc j’ai sauté sur celui-ci dès sa sortie (mais après il a traîné dans ma PAL… no comment!). L’histoire se déroule en 1911 dans le Yorkshire, en Angleterre, dans un asile pour aliénés. On y retrouve John qui a fini là-bas suite à une dépression ainsi qu’Ella, qui a brisé une fenêtre de l’atelier où elle travaillait et a été déclaré « folle ». Contre toute attente, ces deux personnages brisés par la vie vont se rencontrer lors du bal hebdomadaire, seul moment de la semaine où les hommes et les femmes peuvent être en contact… Un très beau roman d’amour qui fait réfléchir à la noirceur de l’âme humaine mais également à sa force et à sa résilience.  Un roman que j’ai dévoré d’une traite!

Ma note: ♥♥♥♥♥

 

Rendez-vous au Cupcake Café – Jenny Colgan

Nombre de pages: 499 pages

Editeur: Prisma

Date de parution (dans cette édition): 2 février 2017

Résumé: 

Issy est indéniablement douée pour la pâtisserie ! Ses collègues de la City se régalent chaque semaine des délicieux gâteaux qu’elle apporte au bureau. Elle tient ce talent de son grand-père qui a consacré sa vie entière à sa boulangerie. C’est à ses côtés, dans la chaleur des fournils, qu’Issy a grandi et appris les secrets des cupcakes moelleux.
Quand elle est brutalement licenciée, Issy décide de suivre son cœur et de se consacrer à sa passion pâtissière. C’est aussi pour elle une façon de rendre hommage à son grand-père dont la santé décline peu à peu… Mais ouvrir une boutique à Londres n’est pas de tout repos. La jeune femme découvre rapidement que de nombreuses personnes sont prêtes à lui mettre des bâtons dans les roues pour faire capoter son projet de Cupcake Café.
Avec pour seules armes sa volonté sans faille et ses précieuses recettes, Issy décide de se battre pour concrétiser son rêve.

Mon avis: 

Jenny Colgan, auteure de « la petite boulangerie du bout du monde », est une habituée des romans « feel good ». Je dois dire qu’après avoir lu le livre d’Anna Hope sur un asile, j’avais envie d’un roman contemporain sans prise de tête et ce roman a parfaitement rempli son office. L’héroïne de ce roman, Izzy, une jeune femme naïve qui se fait complètement manipuler par son « petit ami », perd son boulot dans une agence immobilière suite à une restructuration (et son mec par la même occasion). Elle décide donc de tenter le tour pour le tout et de se lancer dans un salon de thé où elle proposerait des cupcakes et autres douceurs à ses client(e)s. J’ai trouvé le personnage de Izzy attachant, elle est un peu trop gentille (et on profite d’elle) et un peu excessive dans ses réactions parfois mais dans l’ensemble, c’est un personnage qu’on a envie d’aimer. Sa relation avec son grand-père est super touchante et certains passages ont su m’émouvoir. Comme vous pouvez très bien vous l’imaginer, elle rencontrera un jeune homme charmant… mais chut ! Je ne veux pas trop vous en dire. Un roman sympa à lire à la plage !

Ma note: ♥♥♥(♥)

 

[SP] Le miroir des âmes – Nicolas Feuz

Nombre de pages: 261 pages

Editeur: Slatkine & Cie

Date de parution (dans cette édition): 23 août 2018

Résumé: 

Lorsque le procureur Kramer se réveille à l’hôpital, il ne lui reste que quelques bribes de souvenirs : la terrasse d’un café, des visages souriants, la fête des vendanges de Neuchâtel, puis l’explosion. Ensuite, le trou noir.

Deux flics, Mollier et Jemsen se lancent sur les traces du Vénitien, un tueur sans pitié qui vient de faire parler de lui en abattant un policier.

Mon avis: 

Mon avis sera publié le 23 août, donc… à demain !

Ma note:  vous la connaîtrez dans mon article dédié !

 

Il est grand temps de rallumer les étoiles – Virginie Grimaldi

Nombre de pages: 396 pages

Editeur: fayard

Date de parution (dans cette édition): 2 mai 2018

Résumé: 

Anna, 37 ans, croule sous le travail et les relances des huissiers.
Ses filles, elle ne fait que les croiser au petit déjeuner. Sa vie défile, et elle l’observe depuis la bulle dans laquelle elle s’est enfermée.
À 17 ans, Chloé a des rêves plein la tête mais a choisi d’y renoncer pour aider sa mère. Elle cherche de l’affection auprès des garçons, mais cela ne dure jamais. Comme le carrosse de Cendrillon, ils se transforment après l’amour.
Lily, du haut de ses 12 ans, n’aime pas trop les gens. Elle préfère son rat, à qui elle a donné le nom de son père, parce qu’il a quitté le navire.
Le jour où elle apprend que ses filles vont mal, Anna prend une décision folle : elle les embarque pour un périple en camping-car, direction la Scandinavie. Si on ne peut revenir en arrière, on peut choisir un autre chemin.

Mon avis: 

Voici un livre dont j’avais entendu parler sur la chaîne de Margaud Liseuse et en fait, si elle n’en avait pas parlé, j’aurais sûrement passé mon chemin. Mais Margaud a su me donner envie de le lire et après, la magnifique couverture a fait le reste (oui, je suis faible)! J’ai adoré ce road trip de cette mère avec ses deux filles, les dialogues sonnent justes, les personnages sont attachants au possible. J’ai aimé le fait que la narration se fasse par les 3 protagonistes du roman (Anna et ses deux filles) et leur façon de s’exprimer est tellement différente que très vite on sait qui parle sans même lire le titre du début du chapitre. Je dois dire que c’est une excellente surprise, un vrai coup de coeur pour ma part. J’ai ri, j’ai pleuré et j’ai été heureuse avec elles. L’auteure a su allumer des étoiles dans mes yeux, donc pari réussi !

Ma note: ♥♥♥♥♥

Et voilà, c’est tout pour mes lectures du mois de juillet ! 

Je vous retrouve très vite (demain, même) pour un article dédié au tout nouveau roman de l’auteur suisse Nicolas Feuz; le miroir des âmes !

Et vous, vous lisez quoi en ce moment ?

Bisous !