J’ai lu: Les possibles de Virginie Grimaldi

Hello tout le monde !

Je vous retrouve aujourd’hui pour vous parler du roman Les possibles, de l’autrice Virginie Grimaldi.

 ♥ = Bof bof, à éviter

♥♥ = Sympa, sans plus

♥♥♥ = Pas mal du tout , j’ai passé un bon moment !

♥♥♥♥ = A lire absolument !

♥♥♥♥♥ = Attention, gros coup de cœur !

Les (♥) représentent les demis 

L’image provient de mon instagram.

les possibles

Nombre de pages: 378 pages

Maison d’édition: Fayard

Date de parution (dans cette édition): 12 mai 2021

4ème de couverture:

Juliane n’aime pas les surprises. Quand son père fantasque vient s’installer chez elle, à la suite de l’incendie de sa maison, son quotidien parfaitement huilé  connaît quelques turbulences.
Jean dépense sa retraite au téléachat, écoute  du hard rock à fond, tapisse les murs de posters d’Indiens, égare ses affaires, cherche son chemin.
Juliane veut croire que l’originalité de son père s’est épanouie avec l’âge, mais elle doit se rendre à l’évidence  : il déraille.
Face aux lendemains qui s’évaporent, elle va apprendre à découvrir l’homme sous le costume de père, ses valeurs, ses failles, et surtout ses rêves.
Tant que la partie n’est pas finie, il est encore l’heure de tous les possibles.

Mon avis:

J’avais adoré l’avant dernier roman de cette autrice (et que ne durent que les moments doux) donc j’avais grand espoir de réitérer le coup de cœur avec celui-ci. 

Alors j’avoue que même si les personnages sont touchants, drôles et attachants, j’ai trouvé que l’autrice en faisait un poil trop dans les blagues, ce qui rendait le roman un peu moins émouvant qu’il aurait dû l’être. Je pense que c’était sûrement une façon de dédramatiser les situations parfois vraiment tristes.

J’ai cependant vraiment aimé suivre l’histoire de Juliane qui doit accueillir chez elle son papa qui commence gentiment à perdre la boule. Elle devra mettre ses principes et sa maniaquerie dans sa poche pour que son père se sente bien chez elle.  De plus, le fils de Juliane est très heureux d’avoir son papy à la maison pour faire les 400 coups, au grand désespoir de Juliane et son mari. Grâce à son grand-papa très attentif à lui, le petit garçon introverti va enfin prendre confiance en lui et s’affirmer à l’école.

Juliane est une jeune femme qui a besoin d’un cadre dans sa vie, pour se rassurer. Elle n’est pas sûre d’elle et surtout pas de son physique, elle pense qu’elle n’est jamais « assez ». Le regard des autres est super important pour elle et elle a besoin de « sauver les apparences ». Finalement le fait de s’occuper de son papa va la soustraire à ses propres problèmes pour se focaliser sur lui. Le fait de lâcher prise sur plein de choses à la maison va finalement la libérer.

Ce roman explore les relations père-fille et également le rapport à la maladie et particulièrement la démence sénile. Ce sujet me tient particulièrement à cœur et j’ai apprécié que l’autrice se penche sur ce sujet peu abordé dans les romans. La scène avec le cerisier m’a vraiment touchée.

Le papa est très attachant même s’il est un peu caricatural à certains moments. J’ai vraiment aimé le personnage de cet homme qui ne comprend pas qu’il ne pourra plus jamais vivre seul et être indépendant à cause de sa maladie. Juliane et sa famille auront la délicatesse et la tendresse nécessaires pour l’accompagner dans ses moments d’errement. 

Ce roman m’a beaucoup plu et si ce n’est pas un coup de cœur cela reste néanmoins une excellente lecture pour moi ! Vivement le prochain roman de Virginie Grimaldi!

Ma note: ♥♥♥♥


J’ai lu: Chère Mamie au pays du confinement de Virginie Grimaldi

Hello tout le monde !

Je vous retrouve aujourd’hui pour vous parler du roman Chère Mamie au pays du confinement de Virginie Grimaldi.

 ♥ = Bof bof, à éviter

♥♥ = Sympa, sans plus

♥♥♥ = Pas mal du tout , j’ai passé un bon moment !

♥♥♥♥ = A lire absolument !

♥♥♥♥♥ = Attention, gros coup de cœur !

Les (♥) représentent les demis 

L’image provient de mon instagram.

Nombre de pages: 240 pages

Maison d’édition: Le Livre de Poche

Date de parution (dans cette édition): 28 octobre 2020

4ème de couverture:

Chère mamie,
J’espère que tu vas bien et que papy aussi.
Pendant 55 jours, pour se protéger du Covid-19,  nous avons dû rester confinés chez nous. J’avais besoin de conjurer l’angoisse, alors chaque jour  je t’ai écrit. La vie se chargeait de me fournir l’inspiration, et je ne manquais pas de grossir le trait, pour te distraire, pour me distraire. Aujourd’hui,  je vais partager ces lettres avec tout le monde.  C’est très émouvant de penser que l’on a tous vécu  la même chose au même moment. Il faut que  je te prévienne : tous les bénéfices seront reversés  à la Fondation Hôpitaux de Paris-Hôpitaux  de France, qui soutient ceux qui ont porté le pays  à bout de bras pendant deux mois. C’est un moyen 
de se sentir un peu utile, après s’être trouvé bien impuissant.
Gros bisous à toi et à papy, 
Ginie

Mon avis:

Encore un fois, Virginie Grimaldi a su nous apporter une bouffée de bonheur, d’amour et d’humour avec ce petit livre, écrit sous forme de lettres adressées à sa Mamie. Réelles ou pas, je ne sais pas, mais en tout cas, j’ai adoré suivre l’autrice dans son confinement et ses délires. 

Comment ne pas se reconnaître dans cette maman et femme au bout du rouleau, essayant malgré tout de donner le change et de tenir bon dans la tourmente? Toutes les situations décrites nous les avons toutes et tous vécues également: la déprime, l’exaltation, le ras-le-bol, l’optimisme (et on recommence). 

J’ai trouvé ce récit très drôle et touchant, je n’ai pas grand chose de plus à dire, juste lisez-le, cela vous fera du bien, j’en suis sûre!

D’ailleurs, l’intégralité des recettes des ventes sera reversé à une association venant en aide aux hôpitaux français, chose que je trouve admirable de la part de l’autrice mais également de la part de la maison d’édition Le Livre de Poche !

Un petit livre qui vous apportera une petite touche de bonheur dans la morosité ambiante!

Ma note: ♥♥♥♥


Bilan de mes lectures du mois de juillet 2020

Coucou tout le monde !

Je reviens aujourd’hui pour vous présenter mes lectures du mois de juillet 2020.

Les résumés et les images ont été pris sur Amazon.

Livres lus durant le mois : 5

 ♥ = Bof bof, à éviter

♥♥ = Sympa, sans plus

♥♥♥ = Pas mal du tout , j’ai passé un bon moment !

♥♥♥♥ = A lire absolument !

♥♥♥♥♥ = Attention, gros coup de coeur !

Les (♥) représentent les demis 

Devenir – Michelle Obama

Nombre de pages: 520 pages

Editeur: Fayard

Date de parution (dans cette édition): 13 novembre 2018

Résumé: 

« Il y a encore tant de choses que j’ignore au sujet de l’Amérique, de la vie, et de ce que l’avenir nous réserve. Mais je sais qui je suis. Mon père, Fraser, m’a appris à travailler dur, à rire souvent et à tenir parole. Ma mère, Marian, à penser par moi-même et à faire entendre ma voix. Tous les deux ensemble, dans notre petit appartement du quartier du South Side de Chicago, ils m’ont aidée à saisir ce qui faisait la valeur de notre histoire, de mon histoire, et plus largement de l’histoire de notre pays. Même quand elle est loin d’être belle et parfaite. Même quand la réalité se rappelle à vous plus que vous ne l’auriez souhaité. Votre histoire vous appartient, et elle vous appartiendra toujours. À vous de vous en emparer. »

Mon avis: 

J’étais vraiment curieuse de découvrir la vie de Michelle Obama, avant son passage à la maison blanche en temps que première dame et après les 8 ans de présidence de son mari. J’ai trouvé ce livre très intéressant, drôle, émouvant et vraiment inspirant. Quand on a des rêves dans la vie il faut se battre pour les atteindre et cette femme de caractère en est la preuve. Michelle Obama est une femme vraie, qui dit ce qu’elle pense (même si parfois elle devrait prendre plus de pincettes haha) et a un humour à toute épreuve. Elle est très attachante. J’ai adoré ses anecdotes sur Barack ! J’ai également adoré le documentaire Netflix qui parle de sa campagne de promotion pour la sortie de ce livre. J’ai cependant trouvé le début du livre un peu longuet (la partie sur sa jeunesse), j’aurais préféré un peu plus du « pendant » et surtout du « après » 🙂 Dans la même veine, j’avais lu il y a quelques années l’autobiographie de Hilary Clinton qui était également passionnante, si vous aimez ce genre de documentaire !

Ma note: ♥♥♥

 

Et que ne durent que les moments doux – Virginie Grimaldi

Nombre de pages: 360 pages

Editeur: Fayard

Date de parution (dans cette édition): 17 juin 2020

Résumé: 

L’une vient de donner naissance à une petite fille arrivée trop tôt. Elle est minuscule, pourtant elle prend déjà tellement de place.
L’autre vient de voir ses grands enfants quitter le nid. Son fils laisse un vide immense, mais aussi son chien farfelu.
L’une doit apprendre à être mère à temps plein, l’autre doit apprendre à être mère à la retraite.

C’est l’histoire universelle de ces moments qui font basculer la vie, de ces vagues d’émotions qui balaient tout sur leur passage, et de ces rencontres indélébiles qui changent un destin.

Mon avis: 

J’ai lu ce roman deux semaines après avoir accouché et comment vous dire que cette histoire de prématuré et d’enfant quittant le nid m’a vraiment touchée au coeur. Virginie Grimaldi a le chic pour nous emporter dans un tourbillon d’émotions et sait nous toucher avec des mots justes –  toujours bien choisis – et une touche d’humour pour contrebalancer les moments (trop?) émouvants. Et que ne durent que les moments doux est un roman bonbon, qu’on savoure du début à la fin, une fin qui arrive bien trop vite ! Je me souviendrai longtemps de ce joli roman à offrir à toutes les femmes de notre vie.

Ma note: ♥♥♥♥

 

La Sentence – John Grisham

Nombre de pages: 500 pages

Editeur: JC Lattès

Date de parution (dans cette édition): 4 mars 2020

Résumé: 

Octobre 1946.
Pete Banning, l’enfant chéri de Clanton, Mississippi, est revenu de la Seconde Guerre mondiale en héros, décoré des plus hautes distinctions militaires. Aujourd’hui fermier et fidèle de l’église méthodiste, il est considéré comme un père et un voisin exemplaire.
Par un matin  d’automne, il se lève tôt, se rend en ville, et abat calmement son ami, le révérend Dexter Bell.
Au choc que cause ce meurtre de sang-froid s’ajoute l’incompréhension la plus totale, car Pete se contente de déclarer au shérif, à ses avocats et à sa famille : « Je n’ai rien à dire.  »
Que s’est-il passé pour que Pete, un membre respecté de la communauté, devienne un meurtrier ? Et pourquoi se mure-t-il dans le silence ? Personne ne le sait. La seule certitude que sa famille possède c’est que ce qu’il tait est quelque chose de dévastateur, dont les retombées les hanteront, eux et la ville, pendant des décennies…
Avec cette œuvre majeure et unique, John Grisham nous embarque dans un voyage incroyable, du vieux Sud ségrégationniste aux jungles des Philippines de la Seconde Guerre mondiale, d’un asile psychiatrique aux lourds secrets du tribunal de Clanton où l’avocat de Pete tente désespérément de sauver la vie de son client.

Mon avis: 

J’ai été déçue par ce roman où finalement il ne se passe pas grand chose voire même rien du tout. L’auteur nous mène un peu en bateau durant tout le roman pour arriver à un final plat et inintéressant. J’ai trouvé vraiment long toute la partie qui se passe aux Philippines dont je n’ai pas vraiment trouvé l’utilité dans le récit, étant donné que cela n’apporte rien à l’intrigue. J’avoue que c’est la première fois que je n’aime pas un livre de cet auteur !!

Ma note: ♥♥

 

Le collectionneur – Fiona Cummins

Nombre de pages: 528 pages

Editeur: Le Livre de Poche

Date de parution (dans cette édition): 25 septembre 2019

Résumé: 

Le Collectionneur mène une double vie. Monsieur Tout-le-monde dans l’une, il est, dans l’autre, le gardien d’un musée secret que son père et son grand-père ont constitué avant lui, une collection d’ossements humains.
Les collectionneurs cherchent toujours la rareté, l’objet unique. Et, à Londres, il y a deux enfants atteints d’une maladie génétique orpheline qui fait se dédoubler les cartilages puis pousser les os jusqu’à l’étouffement, la maladie de l’homme de pierre.

Avec un style-cutter aussi efficace que glaçant, Fiona Cummins plonge dans l’âme du psychopathe.

Mon avis: 

J’ai reçu en SP « l’ossuaire » de la même auteure et après m’être renseignée, j’ai compris qu’il s’agissait en fait d’un tome 2, le premier tome étant « le collectionneur » , que je me suis donc empressée d’acheter afin de pouvoir mieux appréhender l’histoire car l’ossuaire prend directement place après les faits relatés dans le collectionneur. Bref, pour en revenir à ce tome 1, j’ai bien aimé l’ambiance très sombre de ce roman. Cependant, j’ai eu un peu de peine avec le personnage de la policière que je trouve quand même très fragile et peu entraînée pour les cas sur lesquels elle enquête. On suit donc 2 familles dont les enfants ont été enlevés, ces deux enfants ont des particularités liés à leur ossature qui font d’eux des sujets uniques pour leur ravisseur qui collectionne les ossements hors du commun. Ce roman policier est particulier car dès le début on est dans la peau de l’assassin ce qui est assez malaisant. J’ai aimé également la manière dont l’auteure nous montre comment les familles se délitent et se déchirent lorsque les enfants viennent à disparaître. Bref, un bon roman noir, à l’écriture très fluide (j’ai lu les – quasi – 500 pages en quelques jours à peine) mais pas un coup de cœur pour moi même si je trépigne de savoir si la petite Clara va être retrouvée à temps…  Une plume à découvrir !

Ma note: ♥♥♥

 

Autant en emporte le vent – volume 1 – Margaret Mitchell

Nombre de pages: 720 pages

Editeur: Gallmeister

Date de parution (dans cette édition): 11 juin 2020

Résumé: 

1861, Géorgie. A tout juste seize ans, Scarlett O’Hara a devant elle l’avenir radieux d’une riche héritière de Tara, une importante plantation de coton. Mais la guerre civile est sur le point de plonger dans le chaos le pays tout entier, et Scarlett a le coeur brisé : Ashley Wilkes vient d’en épouser une autre. Pour fuir son chagrin, elle va s’installer à Atlanta, impatiente de goûter à l’énergie d’une grande ville. Là, un certain Rhett Butler, à la réputation douteuse de contrebandier, commence à s’intéresser à Scarlett, attiré par son caractère rebelle. Un duel de séduction s’engage alors, et ils vivront ensemble les pires heures du siège d’Atlanta.

Mon avis: 

J’avais déjà eu ce roman dans ma pile à lire dans une vieille édition folio il y a de cela des années mais j’avais dû je pense m’en séparer il y a quelques temps car impossible de remettre la main dessus. Cependant, quand j’ai vu que la maison Gallmeister proposait une nouvelle traduction, bien plus fluide et moderne, j’ai sauté sur l’occasion de découvrir enfin ce grand classique de la littérature même si les sujets abordés (esclavagisme, ségrégationnisme,…) sont problématiques aujourd’hui. Et bien je dois dire que j’ai vraiment adoré ma lecture. J’ai adoré le personnage de Scarlett qui mûrit énormément au fil du récit. Elle passe de la petite adolescente capricieuse et gâtée à une jeune femme qui doit subvenir aux besoin de ses sœurs et de son père, oubliant tout le luxe auquel elle était habituée en temps que fille d’un riche propriétaire terrien. En effet, son père détient Tara, une grande plantation de coton, incendiée par les Yankees lors de la guerre. J’ai également adoré le personnage de Rhett Buttler, totalement en décalage par rapport aux autres hommes de l’époque. Il est drôle, irrévérencieux et totalement irrésistible. Ce jeu du chat et de la souris avec Scarlett est vraiment passionnant et j’espère qu’ils finiront ensemble (je n’ai jamais vu le film en entier, pourtant j’ai le dvd, j’ai honte!). Bref, je me réjouis de me retourner m’imprégner de l’ambiance de Tara dans le volume 2 que je prévois de lire en septembre 🙂 Un classique que je ne peux que vous recommander (et cette traduction en particulier, les 700 pages se lisent toutes seules)!!

Ma note: ♥♥♥♥

 

Et voilà, c’est tout pour mes lectures du mois de juillet 2020, un mois où j’ai lu moins que les mois précédents car je dois avouer qu’avec un nouveau-né et ma grande de 5 ans qui est en vacances, je n’ai pas trop le temps de lire en journée et le soir je n’avance pas forcément beaucoup dans mes lectures mdr (on a aussi rattrapé notre retard dans 2-3 séries Netflix, on ne peut pas être partout 🙂 ) et vous, vous avez lu quoi ?

A tout bientôt 🙂

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Bilan de mes lectures du mois d’avril 2019

Coucou tout le monde !

Je reviens aujourd’hui pour vous présenter mes lectures du mois d’avril 2019.

Les résumés et les images ont été pris sur Amazon.

Livres lus durant le mois : 5

 ♥ = Bof bof, à éviter

♥♥ = Sympa, sans plus

♥♥♥ = Pas mal du tout , j’ai passé un bon moment !

♥♥♥♥ = A lire absolument !

♥♥♥♥♥ = Attention, gros coup de coeur !

Les (♥) représentent les demis 

La machination – Jeremy Ergas [SP]

Nombre de pages: 477 pages

Editeur: Slatkine & Cie

Date de parution (dans cette édition): 7 mars 2019

Résumé: 

Une nuit de novembre à Genève, un jeune écrivain en vogue, Benjamin Novelle, est torturé et tué au retour d’une soirée littéraire.
Le lendemain, des promeneurs découvrent son corps, un texte est gravé dans le dos en lettres de sang avec une précision spectaculaire. C’est une liste des “Sept Commandements de l’Écriture” que Novelle a enfreints.
Le meurtre fait la une des journaux et la peur s’installe dans la ville, d’autant qu’un éditeur et un agent littéraire célèbres sont aussi retrouvés assassinés au cours des semaines qui suivent. Sur leurs dos, d’autres commandements ont été inscrits à l’aide d’une machine d’exécution semblable à celle de La Colonie Pénitentiaire de Kafka.
L’objectif du tueur est maintenant clair : par ses actes de terrorisme littéraire, il veut restaurer la grandeur passée du livre et l’empêcher de devenir un vulgaire objet de consommation. Reste à déterminer le coupable parmi les écrivains genevois suspectés…

Quel écrivain se cache derrière cette série de meurtres sordides ? Plongez-vous sans plus attendre au cœur d’une intrigue menée tambour battant dans un thriller sur fond de terrorisme littéraire.

Mon avis: 

J’ai fait une revue complète de cette lecture juste ici 😉

Ma note: ♥♥♥♥

 

Coup de foudre à la librairie des coeurs brisés – Annie Darling

Nombre de pages: 423 pages

Editeur: Milady

Date de parution (dans cette édition): 16 mai 2018

Résumé: 

C’est une vérité universellement reconnue qu’une célibataire pourvue d’un bon travail, de quatre sœurs autoritaires et d’un chat tyrannique est forcément en quête du grand amour… non ?

Fan inconditionnelle de Jane Austen et jeune femme introvertie, Verity Love est parfaitement heureuse avec le petit ami qu’elle s’est inventé, Peter. Mais lorsqu’un quiproquo l’oblige à faire passer un parfait étranger pour un flirt, la vie de Verity commence à se compliquer… Johnny pourrait bien avoir l’usage d’une petite amie imaginaire, lui aussi. Malgré les réticences de Verity, il la persuade de s’associer pour un été de mariages, d’anniversaires et de garden-party. L’unique condition : ne pas tomber amoureux…

Parfait pour les fans de Lucy Diamond et Jenny Colgan !

Mon avis: 

J’ai été heureuse de retrouver l’univers apaisant de la petite librairie des coeurs brisés ! Dans ce second tome, on ne suit donc plus Posy mais Verity Love, jeune femme timide et romantique au possible. Les situations sont cocasses et j’ai ce roman m’a beaucoup amusée. Les personnages sont touchants, on a vraiment envie de travailler dans cette librairie où règne une ambiance super chaleureuse ! Un livre qui fait vraiment du bien, sans grande surprise quant à sa fin mais qui se laisse lire avec beaucoup de plaisir !

Ma note: ♥♥♥♥

 

Chère Mamie – Virginie Grimaldi

Nombre de pages: 240 pages

Editeur: Le livre de poche

Date de parution (dans cette édition): 31 octobre 2018

Résumé: 

Chère mamie,
J’espère que tu vas bien, et surtout que tu es assise. Il y a plus d’un an, j’ai commencé à t’écrire des petites cartes sur les réseaux sociaux. Des chroniques du quotidien décalées, rédigées en gloussant. Je ne m’attendais pas à ce que mes aventures deviennent un vrai rendez-vous… Alors une idée a germé : et si ces rires partagés devenaient utiles ? J’ai immédiatement pensé à l’association CéKeDuBonheur, dont j’aime la philosophie et l’engagement.
Dans ce livre, tu trouveras plein d’inédits. Des photos pour illustrer. Des grands bonheurs, des petits malheurs, de la vie. Tu m’as donné l’amour des mots, j’ai hâte que tu découvres ceux qui te sont destinés.
Gros bisous à toi et à papy, Ginie

Mon avis: 

J’ai dévoré ce roman en 1h30 top chrono (le temps de la sieste de ma fille!), bon bien sûr c’est assez vite lu car écrit sous forme de carte postale, vous avez à chaque double-page une photo et un texte, un message que l’auteure Virginie Grimaldi envoie à sa grand-mère 🙂 C’est drôle, tendre, incisif, super bien écrit. Une seule chose à dire: la suite! la suite!

Ma note: ♥♥♥♥♥

 

 

L’appel du néant – Maxime Chattam

Nombre de pages: 528 pages

Editeur: Albin Michel

Date de parution (dans cette édition): 8 novembre 2017

Résumé: 

Tueur en série…
Traque infernale.
Médecine légale.
Services secrets.
… Terrorisme.
La victoire du Mal est-elle inéluctable ?

Ce thriller va détruire vos nuits et hanter vos jours.

Mon avis: 

J’ai passé un bon moment de lecture avec ce roman de Maxime Chattam dont j’aime toujours autant la plume. Cependant, même si l’auteur s’est justifié en fin de roman du fait que les gentils gagnent toujours dans cet opus car il ne se sentait pas de faire encore gagner les terroristes avec tout ce qui se passe dans le monde, j’ai envie de dire que dans ce cas, il aurait dû écrire un autre roman en attendant, et revenir avec du thriller bien noir plus tard. J’ai cependant breaucoup aimé ce livre, même si l’Happy End m’a (pour une fois) un peu laissée sur ma faim.

Ma note: ♥♥♥♥

 

 

Une fille comme elle – Marc Lévy

Nombre de pages: 384 pages

Editeur: Robert Laffont / Versilio

Date de parution (dans cette édition): 18 mai 2018

Résumé: 

À New York, sur la 5e Avenue, s’élève un petit immeuble pas tout à fait comme les autres… Ses habitants sont très attachés à leur liftier, Deepak, chargé de faire fonctionner l’ascenseur mécanique, une véritable antiquité. Mais la vie de la joyeuse communauté se trouve chamboulée lorsque son collègue de nuit tombe dans l’escalier. Quand Sanji, le mystérieux neveu de Deepak, débarque en sauveur et endosse le costume de liftier, personne ne peut imaginer qu’il est à la tête d’une immense fortune à Bombay… Et encore moins Chloé, l’habitante du dernier étage.

Entrez au N° 12, Cinquième Avenue, traversez le hall, montez à bord de son antique ascenseur et demandez au liftier de vous embarquer… dans la plus délicieuse des comédies new yorkaises !

Mon avis: 

Une petite pépite que ce roman tendre et touchant !! J’ai aimé tous les personnages qui sont hauts en couleurs. Les dialogues sonnent justes et l’histoire n’est pas du « déjà vu », c’est au contraire très original et tellement bien écrit. Coup de coeur en particulier pour la femme du liftier, Lila, une femme de caractère qui ferait tout pour son mari. J’ai aimé le fait que le roman traite du handicap suite à un drame et le fait de pouvoir se reconstruire suite à cela. J’ai trouvé le personnage de Chloé très inspirant ! Bref, vous l’aurez compris, j’ai conclu mon mois d’avril avec un gros coup de coeur !

Ma note: ♥♥♥♥♥

Et voilà c’est pour mes lectures du mois d’avril ! Avez-vous déjà lu ces livres ? Si oui, qu’en avez-vous pensé ?

Bisous !

Bilan de mes lectures du mois de septembre 2018

Coucou tout le monde !

Je reviens aujourd’hui pour vous présenter mes lectures du mois de septembre 2018! 

Les résumés et les images ont été pris sur Amazon.

Livres lus durant le mois : 7

 ♥ = Bof bof, à éviter

♥♥ = Sympa, sans plus

♥♥♥ = Pas mal du tout , j’ai passé un bon moment !

♥♥♥♥ = A lire absolument !

♥♥♥♥♥ = Attention, gros coup de coeur !

Les (♥) représentent les demis 

Avant que l’ombre… – Marie Javet

Nombre de pages: 335 pages

Editeur: Plaisir de lire

Date de parution (dans cette édition): 31 août 2018

Résumé: 

Camille et sa fille Lucie décident d’émménager dans une bien curieuse maison…

Lorsque Camille, récemment veuve, cherche un nouveau toit pour elle et sa fille, elle est mystérieusement attirée par une maison dont les occupants cherchent une colocataire. En s’installant, elle plonge dans l’univers de ces artistes marqués par leur passé commun. Que se cache derrière leur bienveillance apparente ? Quel événement a bouleversé leurs vies ?
Ils étaient autrefois libres, non conventionnels, pleins d’illusions et découvraient l’amour, l’art, la vie en communauté. Ce passé complexe se compose de pièces de puzzle, qui s’emboîtent au fil des pages. À ces pièces vient s’ajouter la présence d’une mystérieuse Ombre qui plane sur leur existence. Les incidents se multiplient, mettant à mal l’harmonie de la villa et de ses locataires. D’une façon incontrôlable, la vérité refait surface, confrontant chacun à son passé. Mais qui est cette Ombre et pourquoi en veut-elle aux habitants de la maison ?

Qui donc est cette Ombre ? Quel secret partagent les habitants de la maison ? Découvrez ce roman plein de mystères, au coeur d’une maison qui n’a pas dévoilé tous ses secrets !

Mon avis: 

J’ai déjà dédié un article à ce livre (que j’ai adoré), je vous laisse donc découvrir mon avis juste ici

Ma note: ♥♥♥♥♥

 

Hate List – Jennifer Brown

Nombre de pages: 389 pages

Editeur: Livre de poche jeunesse

Date de parution (dans cette édition): 22 octobre 2014

Résumé: 

C’est elle qui a eu l’idée de la liste, mais elle n’a jamais voulu que quelqu’un meure. Valérie est effondrée après le drame survenu à son lycée. Son petit ami Nick a ouvert le feu dans la cafétéria, visant un à un tous les élèves de la liste. Cette fameuse liste qu’ils avaient écrite pour s’amuser, et où figurent ceux qui étaient odieux, lâches, méprisants. Puis, Nick s’est suicidé. Mais Valérie, elle, est toujours là, enfermée dans une bulle de questions sans réponses. Jusqu’au matin où elle se lève, et quitte sa chambre pour retourner au lycée.

Mon avis: 

Valérie doit faire face à sa culpabilité après un massacre perpétré par son petit copain dans leur lycée à la suite duquel il s’est donné la mort, la laissant seule avec pleins de questions et de remords. En effet, il s’est basé sur la « hate list » qu’elle avait créée, où elle écrivait le nom de toutes les personnes qu’elle n’aimait pas ou qui lui avait fait du mal d’une manière ou d’une autre. J’ai aimé suivre le cheminement de sa pensée, son courage et ses failles. Elle se sent responsable et en même temps elle se sent victime aussi. Ce livre est difficile à lire à des moments (le sujet est horrible), mais le message délivré à la fin (le pardon) est plutôt positif. Un roman beaucoup plus percutant que 13 reasons why qui abordait également le thème du mal-être adolescent.

Ma note: ♥♥♥♥

 

Juste avant le bonheur – Agnès Ledig

Nombre de pages: 327 pages

Editeur: Pocket

Date de parution (dans cette édition): 2 octobre 2014

Résumé: 

Cela fait longtemps que Julie ne croit plus aux contes de fées. Caissière dans un supermarché, elle élève seule son petit Lulu, unique rayon de soleil d’une vie difficile. Pourtant, un jour particulièrement sombre, le destin va lui sourire. Ému par leur situation, un homme les invite dans sa maison du bord de mer, en Bretagne. Tant de générosité après des années de galère : Julie reste méfiante, elle n’a pas l’habitude. Mais pour Lulu, pour voir la mer et faire des châteaux de sable, elle pourrait bien saisir cette main qui se tend…

Mon avis: 

J’avais adoré « pars avec lui », donc j’avais de grandes attentes pour ce roman-ci ! L’histoire est émouvante, on s’attache très vite à cette jeune maman solo et à son petit bout. Même si certains passages sont un peu « trop beaux pour être vrai », on se fait très vite emporter dans le tourbillon d’émotions par lesquelles nous fait passer Agnès Ledig. Encore une fois, j’ai ri (un peu), souri (beaucoup) et pleuré (pas mal). Certains passages ont vraiment été dur à lire pour moi qui suis également maman. Un joli roman cependant, porteur d’un joli message d’espoir car on sait bien qu’après la pluie vient toujours le beau temps …

Ma note: ♥♥♥♥(♥)

 

 

Nous rêvions juste de liberté – Henri Loevenbruck

Nombre de pages: 489 pages

Editeur: J’ai Lu

Date de parution (dans cette édition): 29 mars 2017

Résumé: 

«Nous avions à peine vingt ans et nous rêvions juste de liberté.» Ce rêve, la bande d’Hugo va l’exaucer en fuyant la petite ville de Providence pour traverser le pays à moto. Ensemble, ils vont former un clan où l’indépendance et l’amitié règnent en maîtres. Ensemble ils vont, pour le meilleur et pour le pire, découvrir que la liberté se paie cher. Nous rêvions juste de liberté réussit le tour de force d’être à la fois un roman initiatique, une fable sur l’amitié en même temps que le récit d’une aventure. Avec ce livre d’un nouveau genre, Henri Loevenbruck met toute la vitalité de son écriture au service de ce road-movie fraternel et exalté.

Mon avis: 

Quelle claque ! Au début, ce roman ne m’intéressait pas particulièrement de par son thème (les bikers). Cependant, au fil du récit, je me suis très vite attachée à Bohem et à sa bande de copains. On sait dès le début comment tout va se terminer (on commence le roman par la fin en fait) et plus on avance dans le roman et plus on sent le piège se refermer sur le principal protagoniste. La plume d’Henri Loevenbruck (dont c’est le premier livre que je lis, mais en tout pas le dernier!!) est fluide, juste, précise, incisive. Ce roman est une pépite que je ne peux que vous inviter à décvourir au plus vite. Un seul mot: magistral.

Ma note: ♥♥♥♥♥

 

 

Le premier jour du reste de ma vie – Virginie Grimaldi

Nombre de pages: 330 pages

Editeur: Le livre de poche

Date de parution (dans cette édition): 4 mai 2016

Résumé: 

Marie a tout préparé pour l’anniversaire de son mari  : décoration de l’appartement, gâteaux, invités… Tout, y compris une surprise  : à quarante ans, elle a décidé de le quitter. Marie a pris «  un aller simple pour ailleurs  ». Pour elle, c’est maintenant que tout commence. Vivre, enfin.
Elle a donc réservé un billet sur un bateau de croisière pour faire le tour du monde. À bord, Marie rencontre deux femmes qui, elles aussi, sont à la croisée des chemins. Au fil de leurs aventures, parfois loufoques, elles pleurent et rient ensemble, à la reconquête du bonheur. Leurs vies à toutes les trois vont être transformées par ce voyage au bout du monde.
Mon avis: 

C’est le second livre de l’auteure que je lis et je dois dire que je l’ai trouvé un cran au-dessous de « il est grand temps de rallumer les étoiles », que j’avais vraiment adoré. Dans celui-ci, on suit 3 femmes qui décident de partir faire une croisière pour célibataires et qui commencent à tisser une amitié. Bien sûr, il y a aussi des histoires d’amour, bien sûr on s’y attendait, il y a un happy end mais finalement, n’est-ce pas tout ce qu’on demande à ce genre de roman Feel Good (oui on ne dit plus chick lit mais Feel Good, mais c’est sensiblement la même chose). J’ai passé tout de même un bon moment, même si j’ai trouvé que les personnages n’étaient pas très fouillés, finalement on en sait assez peu sur chacune des protagonistes, on reste un peu à la surface. Un chouette roman à lire au bord de l’eau (comme je l’ai fait cet été) pour se vider la tête!!

Ma note: ♥♥♥(♥)

 

 

Ne tirez pas sur l’oiseau moqueur – Harper Lee

Nombre de pages: 446 pages

Editeur: Le livre de poche

Date de parution (dans cette édition): 23 août 2006

Résumé: 

Dans une petite ville d’Alabama, à l’époque de la Grande Dépression, Atticus Finch élève seul ses deux enfants, Jem et Scout. Avocat intègre et rigoureux, il est commis d’office pour défendre un Noir accusé d’avoir violé une Blanche. Ce bref résumé peut expliquer pourquoi ce livre, publié en 1960 – au cœur de la lutte pour les droits civiques des Noirs aux États-Unis –, connut un tel succès.
Mais comment ce roman est-il devenu un livre culte dans le monde entier ? C’est que, tout en situant son sujet en Alabama dans les années 1930, Harper Lee a écrit un roman universel sur l’enfance. Racontée par Scout avec beaucoup de drôlerie, cette histoire tient du conte, de la court story américaine et du roman initiatique. Couronné par le prix Pulitzer en 1961, Ne tirez pas sur l’oiseau moqueur s’est vendu à plus de 30 millions d’exemplaires dans le monde entier.

Mon avis: 

J’avais ce roman depuis de nombreuses années dans ma pal et je dois dire qu’il me faisait un peu peur, je ne saurais dire pourquoi ! Je pense que j’avais peur d’être déçue car ca été un best-seller à sa sortie ou alors j’avais peur que cela fasse vieillot et que je m’ennuie. Et bien, pas du tout ! L’écriture de Harper Lee est fluide et  moderne et je ne me suis pas ennuyée une seule seconde ! Le roman qui prend place dans les années 1930,est narré du point de vue de Scout, la fille d’Atticus Finch, un avocat qui a été désigné pour défendre un Noir accusé d’avoir violé une femme Blanche. La famille doit alors faire face à des violences pour le père et des brimades pour les enfants. J’ai aimé la complicité entre Scout et son grand frère Jem, qui malgré leurs disputes restent solidaires. Comme le sujet, pourtant très grave, est abordé par Scout, on a vraiment son ressenti d’enfant et son sentiment d’injustice par rapport à la différence de traitement entre les Noirs et les Blancs. Finalement, ce roman est très actuel car même si des progrès ont été faits, on ne peut pas dire que tout le monde est égal, en est la preuve le mouvement « Black Lives Matter ». Un roman à mettre dans toute les mains et qui fait réfléchir. Il restera longtemps dans ma mémoire.

Ma note: ♥♥♥♥

 

 

Un appartement à Paris – Guillaume Musso

Nombre de pages: 464 pages

Editeur: XO Editions (France Loisirs)

Date de parution (dans cette édition): 

Résumé: 

Paris, un atelier d’artiste caché au fond d’une allée verdoyante.
Madeline l’a loué pour s’y reposer et s’isoler.
À la suite d’une méprise, cette jeune flic londonienne y voit débarquer Gaspard, un écrivain misanthrope venu des États-Unis pour écrire dans la solitude. Ces deux écorchés vifs sont contraints de cohabiter quelques jours.

L’atelier a appartenu au célèbre peintre Sean Lorenz et respire encore sa passion des couleurs et de la lumière. Terrassé par l’assassinat de son petit garçon, Lorenz est mort un an auparavant, laissant derrière lui trois tableaux, aujourd’hui disparus. Fascinés par son génie, intrigués par son destin funeste, Madeline et Gaspard décident d’unir leurs forces afin de retrouver ces toiles réputées extraordinaires.

Mais, pour percer le véritable secret de Sean Lorenz, ils vont devoir affronter leurs propres démons dans une enquête tragique qui les changera à jamais.

Guillaume Musso signe un thriller addictif et envoûtant porté par des personnages profondément humains.
Une plongée vertigineuse dans le monde mystérieux de la création.

Un homme, une femme, un secret…
Un appartement mystérieux au cœur de la ville dans laquelle tout peut arriver…

Mon avis: 

Une ancienne flic et un auteur de pièces de théâtre acariâtre louent par erreur la même maison à la même période et vont s’intéresser au destin du propriétaire de la maison, un talentueux peintre décédé une année auparavant dont les 3 derniers tableaux ont disparus. Ils vont dès lors se lancer dans une enquête et décortiquer la vie du peintre. J’ai trouvé que tout se passait un peu vite et que même si l’intrigue est intéressante, j’ai trouvé que la résolution de l’énigme était un peu facile et la fin m’a un peu laissée sur ma faim (haha). J’ai passé toutefois un bon moment de lecture même si je n’ai pas réussi à m’attacher aux personnages que j’ai trouvé plutôt froids… Je pense que c’est le genre de roman dont je ne me souviendrai plus dans quelques mois…

Ma note: ♥♥♥

Et voilà, c’est tout pour mes lectures du mois de septembre ! J’essaie de vous taper très rapidement mon article sur mes lectures du mois d’octobre !

Et vous, que lisez-vous en ce moment ? 

Bisous !

Bilan de mes lectures du mois de juillet 2018

Coucou tout le monde !

Je reviens aujourd’hui pour vous présenter mes lectures du mois de juillet 2018! 

Les résumés et les images ont été pris sur Amazon.

J’avais dans l’idée de vous faire un article par livre mais après je me suis dit que ceux qui sont abonnés à ma newsletters allaient me bénir du coup je garde ce format-ci (bilan mensuel) mais je pense que de temps en temps, en plus des services presse, je vais mettre un roman que j’ai particulièrement aimé en avant. J’aimerais également vous parler des mes lectures mangas et bandes dessinées ! J’espère que cette idée vous plaira!

Livres lus durant le mois : 5

 ♥ = Bof bof, à éviter

♥♥ = Sympa, sans plus

♥♥♥ = Pas mal du tout , j’ai passé un bon moment !

♥♥♥♥ = A lire absolument !

♥♥♥♥♥ = Attention, gros coup de coeur !

Les (♥) représentent les demis 

L’amie prodigieuse (tome 1) – Elena Ferrante

Nombre de pages: 448 pages

Editeur: folio

Date de parution (dans cette édition): 1er janvier 2016

Résumé: 

«Je ne suis pas nostalgique de notre enfance : elle était pleine de violence. C’était la vie, un point c’est tout : et nous grandissions avec l’obligation de la rendre difficile aux autres avant que les autres ne nous la rendent difficile.» Elena et Lila vivent dans un quartier pauvre de Naples à la fin des années cinquante. Bien qu’elles soient douées pour les études, ce n’est pas la voie qui leur est promise. Lila abandonne l’école pour travailler dans l’échoppe de cordonnier de son père. Elena, soutenue par son institutrice, ira au collège puis au lycée. Les chemins des deux amies se croisent et s’éloignent, avec pour toile de fond une Naples sombre, en ébullition. L’amie prodigieuse, Le nouveau nom et Celle qui fuit et celle qui reste sont les trois premiers tomes de la saga d’Elena Ferrante, qui se conclut avec L’enfant perdue.

Mon avis: 

J’avais tellement entendu de bien de cette série (à ce jour, 4 tomes sont sortis il me semble!) que j’avais un peu d’appréhension à l’idée de me lancer, comme toujours quand quelque chose fait le buzz, je suis toujours un peu méfiante.  Je me suis dit que commencer cette série en été était juste parfait, car l’intrigue se passe à Naples, dans les années 50, au beau milieu d’un été caniculaire. (même si les faits se passent sur plusieurs années, il me semble que c’est toujours l’été, il doit y avoir des ellipses temporelles lors des autres saisons haha)

Nous suivons donc deux « amies », Elena et Isabella, dite Lila, de leur plus tendre enfance à leur adolescence. J’ai mis volontairement amies entre guillemets car finalement, il s’agit plus de rivalités entre les deux qu’une réelle amitié, même si elles sont attachées l’une à l’autre. Lila, la jeune fille belle et surdouée qui se voit forcée d’arrêter ses études par manque de moyens financiers et Elena, la jeune fille banale, pas bête mais pas non plus exceptionnelle, qui peut elle faire des études (et s’en vante bien auprès de sa copine). L’amie prodigieuse du titre c’est donc Lila la magnifique, cette jeune fille que finalement tout le monde envie et admire. J’ai aimé les personnages de ce roman, l’ambiance moite qui règne et les histoires entre tous les protagonistes, même si parfois on s’y perd un peu, heureusement qu’il y a un lexique des noms pour s’y retrouver plus facilement. Une très belle lecture pour moi même si le style est assez touffu, j’ai hâte de lire la suite qui est déjà dans ma PAL 🙂

Ma note: ♥♥♥♥

 

La salle de bal – Anna Hope

Nombre de pages: 400 pages

Editeur: Gallimard

Date de parution (dans cette édition): 17 août 2017

Résumé: 

Lors de l’hiver 1911, l’asile d’aliénés de Sharston, dans le Yorkshire, accueille une nouvelle pensionnaire : Ella, qui a brisé une vitre de la filature dans laquelle elle travaillait depuis l’enfance. Si elle espère d’abord être rapidement libérée, elle finit par s’habituer à la routine de l’institution. Hommes et femmes travaillent et vivent chacun de leur côté : les hommes cultivent la terre tandis que les femmes accomplissent leurs tâches à l’intérieur. Ils sont néanmoins réunis chaque vendredi dans une somptueuse salle de bal. Ella y retrouvera John, un « mélancolique irlandais ». Tous deux danseront, toujours plus fébriles et plus épris. A la tête de l’orchestre, le docteur Fuller observe ses patients valser. Séduit par l’eugénisme et par le projet de loi sur le Contrôle des faibles d’esprit, Fuller a de grands projets pour guérir les malades. Projets qui pourraient avoir des conséquences désastreuses pour Ella et John. Après Le chagrin des vivants, Anna Hope parvient de nouveau à transformer une réalité historique méconnue en un roman subtil et puissant, entraînant le lecteur dans une ronde passionnée et dangereuse.

Mon avis: 

J’avais adoré le livre précédent de l’auteure, « le chagrin des vivants » donc j’ai sauté sur celui-ci dès sa sortie (mais après il a traîné dans ma PAL… no comment!). L’histoire se déroule en 1911 dans le Yorkshire, en Angleterre, dans un asile pour aliénés. On y retrouve John qui a fini là-bas suite à une dépression ainsi qu’Ella, qui a brisé une fenêtre de l’atelier où elle travaillait et a été déclaré « folle ». Contre toute attente, ces deux personnages brisés par la vie vont se rencontrer lors du bal hebdomadaire, seul moment de la semaine où les hommes et les femmes peuvent être en contact… Un très beau roman d’amour qui fait réfléchir à la noirceur de l’âme humaine mais également à sa force et à sa résilience.  Un roman que j’ai dévoré d’une traite!

Ma note: ♥♥♥♥♥

 

Rendez-vous au Cupcake Café – Jenny Colgan

Nombre de pages: 499 pages

Editeur: Prisma

Date de parution (dans cette édition): 2 février 2017

Résumé: 

Issy est indéniablement douée pour la pâtisserie ! Ses collègues de la City se régalent chaque semaine des délicieux gâteaux qu’elle apporte au bureau. Elle tient ce talent de son grand-père qui a consacré sa vie entière à sa boulangerie. C’est à ses côtés, dans la chaleur des fournils, qu’Issy a grandi et appris les secrets des cupcakes moelleux.
Quand elle est brutalement licenciée, Issy décide de suivre son cœur et de se consacrer à sa passion pâtissière. C’est aussi pour elle une façon de rendre hommage à son grand-père dont la santé décline peu à peu… Mais ouvrir une boutique à Londres n’est pas de tout repos. La jeune femme découvre rapidement que de nombreuses personnes sont prêtes à lui mettre des bâtons dans les roues pour faire capoter son projet de Cupcake Café.
Avec pour seules armes sa volonté sans faille et ses précieuses recettes, Issy décide de se battre pour concrétiser son rêve.

Mon avis: 

Jenny Colgan, auteure de « la petite boulangerie du bout du monde », est une habituée des romans « feel good ». Je dois dire qu’après avoir lu le livre d’Anna Hope sur un asile, j’avais envie d’un roman contemporain sans prise de tête et ce roman a parfaitement rempli son office. L’héroïne de ce roman, Izzy, une jeune femme naïve qui se fait complètement manipuler par son « petit ami », perd son boulot dans une agence immobilière suite à une restructuration (et son mec par la même occasion). Elle décide donc de tenter le tour pour le tout et de se lancer dans un salon de thé où elle proposerait des cupcakes et autres douceurs à ses client(e)s. J’ai trouvé le personnage de Izzy attachant, elle est un peu trop gentille (et on profite d’elle) et un peu excessive dans ses réactions parfois mais dans l’ensemble, c’est un personnage qu’on a envie d’aimer. Sa relation avec son grand-père est super touchante et certains passages ont su m’émouvoir. Comme vous pouvez très bien vous l’imaginer, elle rencontrera un jeune homme charmant… mais chut ! Je ne veux pas trop vous en dire. Un roman sympa à lire à la plage !

Ma note: ♥♥♥(♥)

 

[SP] Le miroir des âmes – Nicolas Feuz

Nombre de pages: 261 pages

Editeur: Slatkine & Cie

Date de parution (dans cette édition): 23 août 2018

Résumé: 

Lorsque le procureur Kramer se réveille à l’hôpital, il ne lui reste que quelques bribes de souvenirs : la terrasse d’un café, des visages souriants, la fête des vendanges de Neuchâtel, puis l’explosion. Ensuite, le trou noir.

Deux flics, Mollier et Jemsen se lancent sur les traces du Vénitien, un tueur sans pitié qui vient de faire parler de lui en abattant un policier.

Mon avis: 

Mon avis sera publié le 23 août, donc… à demain !

Ma note:  vous la connaîtrez dans mon article dédié !

 

Il est grand temps de rallumer les étoiles – Virginie Grimaldi

Nombre de pages: 396 pages

Editeur: fayard

Date de parution (dans cette édition): 2 mai 2018

Résumé: 

Anna, 37 ans, croule sous le travail et les relances des huissiers.
Ses filles, elle ne fait que les croiser au petit déjeuner. Sa vie défile, et elle l’observe depuis la bulle dans laquelle elle s’est enfermée.
À 17 ans, Chloé a des rêves plein la tête mais a choisi d’y renoncer pour aider sa mère. Elle cherche de l’affection auprès des garçons, mais cela ne dure jamais. Comme le carrosse de Cendrillon, ils se transforment après l’amour.
Lily, du haut de ses 12 ans, n’aime pas trop les gens. Elle préfère son rat, à qui elle a donné le nom de son père, parce qu’il a quitté le navire.
Le jour où elle apprend que ses filles vont mal, Anna prend une décision folle : elle les embarque pour un périple en camping-car, direction la Scandinavie. Si on ne peut revenir en arrière, on peut choisir un autre chemin.

Mon avis: 

Voici un livre dont j’avais entendu parler sur la chaîne de Margaud Liseuse et en fait, si elle n’en avait pas parlé, j’aurais sûrement passé mon chemin. Mais Margaud a su me donner envie de le lire et après, la magnifique couverture a fait le reste (oui, je suis faible)! J’ai adoré ce road trip de cette mère avec ses deux filles, les dialogues sonnent justes, les personnages sont attachants au possible. J’ai aimé le fait que la narration se fasse par les 3 protagonistes du roman (Anna et ses deux filles) et leur façon de s’exprimer est tellement différente que très vite on sait qui parle sans même lire le titre du début du chapitre. Je dois dire que c’est une excellente surprise, un vrai coup de coeur pour ma part. J’ai ri, j’ai pleuré et j’ai été heureuse avec elles. L’auteure a su allumer des étoiles dans mes yeux, donc pari réussi !

Ma note: ♥♥♥♥♥

Et voilà, c’est tout pour mes lectures du mois de juillet ! 

Je vous retrouve très vite (demain, même) pour un article dédié au tout nouveau roman de l’auteur suisse Nicolas Feuz; le miroir des âmes !

Et vous, vous lisez quoi en ce moment ?

Bisous !