Bilan de mes lectures du mois de décembre 2020

Coucou tout le monde !

Je reviens aujourd’hui pour vous présenter (enfin!) mes lectures du mois de décembre 2020.

Toutes les images proviennent de mon instagram.

Romans lus durant le mois : 7 (dont 1 SP et 2 emprunts bibliothèque)

Mangas lus durant le mois: 5

Bandes dessinées lues durant le mois: 0

lectures décembre 2020chère mamie au pays du confinement

S’il devait y avoir un thème récurrent dans les romans lus le mois passé, cela serait l’adolescence car les romans Une putain d’histoire de Bernard Minier, Manuel de survie à l’usage des jeunes filles de Mike Kitson et Presque génial de Benedict Wells (dont je vous ai parlé juste ici) abordent tous cette période charnière entre l’enfance et le passage à l’âge adulte. Bernard Minier a su encore une fois me faire tourner en bourrique dans ce thriller hyper angoissant mais j’avoue avoir préféré glacé et son personnage de Martin Servaz ! J’ai eu beaucoup de plaisir à suivre les aventures des deux sœurs Sal et Peppa dans Manuel de survie à l’usage des jeunes filles, livre que j’ai trouvé dur et léger à la fois, l’auteur sachant bien alterner entre les moments tristes et les moments gais.

J’ai été surprise en bien par le dernier roman de Romain Puértolas, Sous le parapluie d’Adélaïde, dont j’ai trouvé l’intrigue vraiment bien développée, même si j’avais découvert le twist final depuis le début du roman. Pour ce dernier, je trouve que l’auteur avait été plus habile dans son roman précédent, mais peut-être que c’est moi qui était beaucoup plus à l’affut de certains indices pour ne pas me faire rouler 😉

Gros coup de cœur pour les sorcières de Pendle de Stacy Halls dont j’ai vraiment aimé la narration, on se met vraiment à la place de Fleetwod, jeune femme enceinte faisant appel à une sage femme accusée de sorcellerie afin de sauver son bébé à naître. L’ambiance et l’écriture sont parfaites !

J’ai passé un joli moment de détente avec le nouveau Chère Mamie (au pays du confinement) de Virginie Grimaldi, chroniques de son confinement sous forme de lettres écrites à sa Mamie. J’ai adoré tout comme le premier opus qu’elle avait sorti en 2019.

Un roman tout doux avec lettre d’amour sans le dire d’Amanda Sthers, je n’avais jamais rien lu de cette autrice mais ce roman très poétique m’a beaucoup touchée.

Côté mangas, j’ai commencé la saga l’atelier des sorciers dont j’ai acheté les 7 tomes (oui je suis folle :P) J’ai lu les deux premiers et le troisième tome est en cours de lecture. Pour le moment j’aime beaucoup l’univers très frais de ce manga et j’adore les dessins! J’ai également continué The Promised Neverland avec le tome17, on continue à suivre Emma et ses amis et l’intrigue devient de plus en plus complexe mais impossible de plus vous en dire sinon je vais trop vous en dévoiler et cela serait vraiment dommage. En tout cas, j’adore toujours autant cette série et j’ai hâte d’en voir le dessin animé.

J’ai également lu le tome 4 de Magus of the library où on continue de suivre les futurs bibliothécaires qui se tirent toujours un peu dans les pattes ! Les dessins et l’univers sont toujours autant somptueux 🙂 J’ai également lu le tome 5 de it’s my life, manga rigolo et grave à la fois où on suit une petite sorcière qui s’incruste chez un paladin trentenaire à la retraite. Les personnages sont vraiment attachants et j’adore vraiment cette série dont je trouve qu’on ne parle vraiment pas assez !

Bien entendu, je vous reparlerai plus en détail des romans dans les articles qui leur seront consacrés!

Et vous, qu’avez-vous lu le mois passé?

A tout bientôt 🙂

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[SP] J’ai lu: Presque génial de Benedict Wells

Hello tout le monde !

Je vous retrouve aujourd’hui pour vous parler du livre Presque génial de l’écrivain allemand Benedict Wells que j’ai eu la chance de recevoir de la part des éditions Slatkine & Cie.  J’avais eu l’occasion de découvrir la plume de cet auteur dans le recueil de nouvelles la vérité sur le mensonge que j’avais beaucoup aimé! (ma revue juste ici)

 ♥ = Bof bof, à éviter

♥♥ = Sympa, sans plus

♥♥♥ = Pas mal du tout , j’ai passé un bon moment !

♥♥♥♥ = A lire absolument !

♥♥♥♥♥ = Attention, gros coup de cœur !

Les (♥) représentent les demis 

L’image provient de mon instagram.

presque génial

Nombre de pages: 413 pages

Maison d’édition: Slatkine & Cie

Date de parution (dans cette édition): 20 août 2020

4ème de couverture:

Francis, 17 ans, est né de père inconnu. Il vit avec sa mère dépressive dans un mobil-home sordide à la périphérie de Claymont, petite ville de la côte Est des États-Unis. Avant une tentative de suicide ratée, sa mère lui a laissé une lettre d’adieu dans laquelle elle lui révèle qu’il a été conçu grâce à une banque du sperme, dont les donneurs anonymes sont sélectionnés pour leur Q.I. hors du commun. Il se met alors en tête de retrouver son géniteur, et entraîne dans son road trip son meilleur ami, le geek Grover, et Anne May, une jeune patiente de la clinique dont il est tombé amoureux.

Mon avis:

Ce roman qui est un road trip regroupant un jeune homme un peu perdu, Francis, son meilleur ami le geek Grover et la fille dont il est tombé amoureux au premier regard, Anne-May.

Tout bascule dans la vie de Francis quand sa mère lui apprend – après une tentative ratée de suicide – qu’il est le fils d’un génie (anonyme) car elle avait eu recours à une banque de sperme ayant pour but de créer des petits génies. Les études n’étant pas trop son fort et ne sachant pas bien quoi faire de sa vie, Francis s’accroche à cette idée et pour se prouver sa valeur, a comme seule obsession de retrouver son géniteur. 

Persuadé que sa vie ne pourra être que plus belle une fois qu’il saura qui est son père et qu’il l’aura rencontré, il en oublie presque les gens qui sont là pour lui et qui l’aiment (sa mère, son demi-frère et son ex beau-père, qui veille tout de même encore sur lui même de loin). Francis se sent inférieur aux autres et est pour le moins jaloux de son meilleur ami Grover pour qui les portes des plus grandes universités sont ouvertes. Ce trait de son caractère m’a un peu agacée je dois l’avouer car j’avais envie de lui dire « mais nom d’une pipe bouge-toi, fais quelque chose de ta vie!!! ». Il a beaucoup de rancœur en lui et pense que le monde est contre lui.

J’ai beaucoup aimé le personnage de Grover, jeune homme sensible, pas insensible aux charmes d’Anne-May mais qui s’efface pour le bonheur de son ami Francis. Pour ne pas lui faire de mal, il retarde le moment de lui dire qu’il est pris à l’université et va partir loin de lui, s’extrayant de leur petite ville minable sans perspective d’avenir. 

Anne-May est un personnage que je n’ai pas spécialement apprécié car je l’ai trouvée froide et un peu calculatrice. Elle joue beaucoup de ses charmes pour obtenir ce qu’elle veut. Néanmoins, on sent derrière cette apparente confiance en elle qu’elle est restée intérieurement une petite fille fragile. Elle rêve de vivre sa vie comme elle l’entend mais elle est en quelque sorte prisonnière de sa famille aisée qui a déjà des plans bien précis pour elle.

Tous les trois sont pris dans une machine implacable qui fait que leur chemin est déjà tout tracé … à moins de mettre un grand coup de pied dans la fourmilière! 

C’est un roman sur la vie qu’on rêverait d’avoir, les désillusions adolescentes et le besoin d’être aimé pour ce que l’on est vraiment. La phrase finale m’a néanmoins un peu laissée sur ma faim, j’aurai aimé avoir le fin mot de l’histoire 😉

Même si j’ai moins aimé ce roman que son recueil de nouvelles cité en début d’article, j’ai toujours autant apprécié la plume fluide et dynamique de l’auteur qui fait qu’on dévore ses romans ! Vivement le prochain!

Ma note: ♥♥♥♥

Un grand merci aux éditions Slatkine & Cie pour l’envoi de ce SP!

Bilan de mes lectures du mois de septembre 2019

Coucou tout le monde !

Je reviens aujourd’hui pour vous présenter mes lectures du mois de septembre 2019.

Les résumés et les images ont été pris sur Amazon.

Livres lus durant le mois : 8

 ♥ = Bof bof, à éviter

♥♥ = Sympa, sans plus

♥♥♥ = Pas mal du tout , j’ai passé un bon moment !

♥♥♥♥ = A lire absolument !

♥♥♥♥♥ = Attention, gros coup de coeur !

Les (♥) représentent les demis 

Le Schmock – Franz-Olivier Giesbert

Nombre de pages: 416 pages

Editeur: Gallimard

Date de parution (dans cette édition): 16 mai 2019

Résumé: 

J’écris des romans pour raconter des histoires. Depuis longtemps, j’en avais une qui me courait dans la tête et qui se déroulait dans l’Allemagne nazie du siècle dernier, en Bavière. Une histoire d’amour, d’amitié. Malgré toutes mes lectures sur la période hitlérienne, je n’ai jamais réussi à comprendre pourquoi tant d’Allemands « bien », respectables, avaient pris à la légère la montée du nazisme tandis que les Juifs tardaient étrangement à fuir. Par quelle aberration, à cause de quelles complaisances, quelles lâchetés, le nazisme fut-il possible ? Qu’était-il arrivé à ce grand pays de musiciens, de philosophes et de poètes ? Ces questions-là n’ont jamais cessé de me hanter. Je crois que l’histoire d’Elie, Elsa, Lila, Karl et les autres apporte quelques clés. Après tout, il n’y a que les fous pour tenter de répondre à ce genre de questions, les fous ou les personnages de roman. Franz-Olivier Giesbert

Mon avis: 

J’ai eu un gros coup de coeur pour ce roman prenant place lors de la seconde guerre mondiale et la montée au pouvoir d’Hitler. On y suit deux familles, l’une juive et l’autre pas et leurs destins si différents. Un roman qui se lit très facilement, l’écriture est fluide et le sujet vraiment bien amené. Le début est un peu bizarre et lent mais ensuite on se fait très vite entraîner pour ne plus en sortir qu’après avoir lu la dernière page. J’ai hâte de découvrir les autres livres de cet auteur (je crois que j’ai l’arracheuse de dents dans ma pile à lire).

Ma note: ♥♥♥♥♥

 

L’ombre du renard – Nicolas Feuz

Nombre de pages: 317 pages

Editeur: Slatkine & Cie

Date de parution (dans cette édition): 22 août 2019

Résumé: 

Après Le Miroir des âmes, une nouvelle enquête du procureur suisse, parti en Corse sur les traces d’un trésor nazi englouti…

Le 16 septembre 1943, alors que les Alliés s’apprêtent à libérer la Corse de l’occupation nazie, un convoi SS quitte un couvent situé sur les hauteurs de Bastia en emportant une mystérieuse cargaison. Chargées sur une barge à destination de l’Italie, les caisses sont victimes d’un bombardement américain et finissent englouties au large du Cap Corse.
Ainsi naît la légende du Trésor de Rommel, qui suscitera bien des convoitises et engendrera de somptueuses dépenses en recherches sous-marines durant plus de 70 ans. Toutes infructueuses.
Jusqu’à ce jour de l’été 2018 où un lingot d’or caractéristique réapparaît en Suisse, à côté du cadavre d’un vieux bijoutier de Neuchâtel. Le premier d’une longue série, qui va entraîner le procureur Norbert Jemsen, sa greffière Flavie Keller et l’inspectrice Tanja Stojkaj dans un tourbillon mortel entre la Suisse et la Corse.

Mon avis: 

Mon avis complet est juste ici 🙂

Ma note: ♥♥♥♥♥

 

 

Une maison jaune – Abigail Seran

Nombre de pages: 302 pages

Editeur: Plaisir de lire

Date de parution (dans cette édition): 23 décembre 2015

Résumé: 

Sous le toit d’une maison jaune, trois destins féminins s’entremêlent…

Un jour, Charlotte découvre dans la maison de maître où elle a récemment emménagé avec sa mère des petits papiers écrits bien des années auparavant. Curieuse, elle décide de remonter la trace de ces mots. Il s’avère qu’entre ces murs, deux autres adolescentes ont vécu avant elle : Léonie, issue d’une famille de notables de l’entre-deux-guerres et Pia, émigrée italienne dans les années cinquante. Chacune d’entre elles fera un bout de chemin dans cette maison qui aurait dû être jaune avec des destins bien différents. Pia, Charlotte et Léonie, trois univers entrelacés à ce moment de la vie si particulier qu’est le passage à l’âge adulte. D’une écriture pleine de justesse et de retenue, l’auteure nous fait traverser le vingtième siècle, au gré des doutes, des espoirs et des certitudes de ses héroïnes. Une histoire au suspense savamment tissé qui pourrait bien dévoiler que cette demeure n’est pas le seul point commun de ces jeunes filles.

Le portrait de trois jeunes femmes du XXe siècle, si différentes et si semblables.

Mon avis: 

Ce livre, qui raconte l’histoire de 3 femmes à travers les âges qui ont en commun la fameuse maison jaune (qui ne l’était pas vraiment d’ailleurs) du titre m’a vraiment transportée. Léonie, jeune fille issue d’une famille noble, obligée de subir un mariage arrangé dans l’entre-deux guerres. Pia, jeune immigrée italienne dans les années 50, qui découvre l’amour et le désir au contact d’une jeune pianiste talentueuse… et finalement Charlotte, adolescente d’aujourd’hui, qui découvre elle aussi les premiers émois amoureux, tout en menant son enquête sur les habitantes précédentes de la maison où elle habite avec sa mère. J’ai vraiment adoré ce roman qui mêle passé et présent, je l’ai trouvé vraiment passionnant et touchant à la fois. Une très belle découverte.

Ma note: ♥♥♥♥♥

 

 

La disparition de Stephanie Mailer – Joël Dicker

Nombre de pages: 635 pages

Editeur: Edition de Fallois

Date de parution (dans cette édition): 7 mars 2018

Résumé: 

30 juillet 1994. Orphea, petite station balnéaire tranquille des Hamptons dans l’État de New York, est bouleversée par un effroyable fait divers: le maire de la ville et sa famille sont assassinés chez eux, ainsi qu’une passante, témoin des meurtres.
L’enquête, confiée à la police d’État, est menée par un duo de jeunes policiers, Jesse Rosenberg et Derek Scott. Ambitieux et tenaces, ils parviendront à confondre le meurtrier, solides preuves à l’appui, ce qui leur vaudra les louanges de leur hiérarchie et même une décoration.
Mais vingt ans plus tard, au début de l’été 2014, une journaliste du nom de Stephanie Mailer affirme à Jesse qu’il s’est trompé de coupable à l’époque.
Avant de disparaître à son tour dans des conditions mystérieuses.

Mon avis: 

J’avais beaucoup aimé les deux romans précédents de l’auteur et j’avais vraiment hâte de me plonger dans ce nouveau roman, bien que finalement il a traîné plus d’une année dans ma pile à lire. Comme d’habitude, quand j’entends trop parler d’un livre, ça ne me donne pas tellement envie de le lire… donc j’ai laissé un peu le soufflé redescendre et je me suis lancée ! Et bien franchement, Joël Dicker a vraiment le don pour nous créer des intrigues complexes et qui tiennent vraiment bien la route ! Comme d’habitude avec cet auteur, je me suis bien fait rouler dans la farine !! Un roman vraiment bien ficelé et qui est encore un cran au-dessus de ses précédents romans. Il y a beaucoup de personnages mais chacun a son petit moment à lui et on arrive bien à faire le lien entre eux. Un sacré roman qui j’espère sera porté sur le petit ou grand écran prochainement !

Ma note: ♥♥♥♥♥

 

 

Nous étions nés pour être heureux – Lionel Duroy

Nombre de pages: 222 pages

Editeur: Julliard

Date de parution (dans cette édition): 22 août 2019

Résumé: 

Depuis trente ans, Paul a fait de son histoire familiale, et du désastre que fut son enfance, la matière même de ses romans. Une démarche que ses frères et soeurs n’ont pas comprise, au point de ne plus lui adresser la parole pendant de longues années. Et puis arrive le temps de la réconciliation. Paul décide de réunir à déjeuner, dans la maison qui est devenue son refuge, tous les protagonistes de sa tumultueuse existence : ses neuf frères et soeurs, leurs enfants et les siens, et même ses deux ex-femmes.
Viendra qui voudra. Et advienne que pourra.
Le temps d’un singulier repas de famille, Lionel Duroy parvient à reconstituer tous les chapitres essentiels de la vie d’un homme. Avec sa profondeur psychologique habituelle et l’élégance de son style, il livre ici un récit vibrant de vérité sur les liens indestructibles de l’enfance, la résilience et la paix enfin retrouvée.

Mon avis: 

Oh quelle déception que ce roman !En début d’année, j’avais adoré Eugenia, de ce même auteur. Du coup, quand lors d’une virée en librairie j’ai vu que l’auteur avait sorti un nouveau roman, je l’ai de suite acheté, sans même lire la 4ème de couverture. Et bien, je pense que j’aurais vraiment dû m’abstenir. Alors attention, le roman n’est pas mauvais, ce n’est pas ce que je dis. Mais en comparaison à son précédent roman, il ne se passe presque rien dans ce roman qui décrit juste des retrouvailles lors d’un dîner entre les différents membres d’une famille qui s’étaient brouillés à cause des livres qu’écrit le narrateur de l’histoire. Bref, j’avoue m’être un peu ennuyée, heureusement qu’il était vite lu 😦

Ma note: ♥♥

 

 

Féline – Bu Hui-Ryeong

Nombre de pages: 166 pages

Editeur: Picquier poche

Date de parution (dans cette édition): 3 mars 2016

Résumé: 

Voici un chat errant, qui doit surmonter les difficultés de la vie après la disparition de sa mère.

Voici une adolescente un peu sauvage, qui vit seule avec sa grand-mère et fuit le contact avec les autres, de peur d’être blessée.

Tous deux se rencontrent dans un parc, et aussitôt, le chat croit reconnaître en elle un de ces êtres de légende qui comprennent le langage des chats. C’est sûr, ils sont faits l’un pour l’autre !

Une belle histoire d’amitié entre un jeune chat vagabond et une adolescente, qui apprennent ensemble à affronter la vie, leurs peurs et leur solitude.

Mon avis: 

Ce livre retrace la rencontre entre un jeune chat et la jeune fille qu’il a choisi (malgré elle) comme maîtresse. Ce roman est une sorte de fable moderne, il ne s’y passe pas grand chose finalement mais il est touchant et j’aime le fait qu’il soit narré par le chat. Un livre poétique sur l’attachement homme-animal et sur le besoin d’appartenance que nous avons besoin de ressentir parfois (bande d’amis, famille, etc.).

Ma note: ♥♥♥♥

 

La vérité sur le mensonge – Benedict Wells

Nombre de pages: 220 pages

Editeur: Slatkine & Cie

Date de parution (dans cette édition): 12 septembre 2019

Résumé: 

Laissez-vous embarquer dans le monde du jeune prodige allemand, auteur du bestseller La Fin de la solitude. Dix grandes histoires très différentes, d’un monde dans lequel mensonges, rêves, vérités se croisent et se confondent. Tour à tour touchantes, drôles, surprenantes et, souvent, inoubliables.

Dix grandes histoires sur des petits riens, et pourtant sur l’essentiel.
Des histoires sur le malheur d’être libre, et sur une femme confrontée à une décision existentielle. Des histoires à propos d’un endroit où personne ne veut aller, mais qui devient pourtant un foyer. À propos d’un scénariste d’aujourd’hui qui, en panne d’inspiration, est catapulté dans le Hollywood des années 70, où il pourrait voler l’idée du film qu’il sait être le plus célèbre du XXe siècle. Et, enfin, des histoires tirées de La Fin de la solitude, éclairant enfin un sombre secret de famille et un rêve d’enfant…
Dix grandes histoires très différentes, d’un monde dans lequel mensonges, rêves, vérités se croisent et se confondent. Tour à tour touchantes, drôles, surprenantes et, souvent, inoubliables.

Mon avis: 

Mon avis complet est juste ici 🙂

Ma note: ♥♥♥♥

 

Sans âme [le protectorat de l’ombrelle, tome 1] – Gail Carriger

Nombre de pages: 432 pages

Editeur: Le livre de poche

Date de parution (dans cette édition): 18 avril 2012

Résumé: 

Miss Alexia Tarabotti doit composer avec quelques contraintes sociales. Primo, elle n’a pas d’âme. Deuxio, elle est toujours célibataire. Tertio, elle vient de se faire grossièrement attaquer par un vampire qui ne lui avait même pas été présenté ! Que faire ? Rien de bien, apparemment, car Alexia tue accidentellement le vampire. Lord Maccon – beau, compliqué, écossais et loup-garou – est envoyé par la reine Victoria pour démêler l’affaire. Des vampires indésirables s’en mêlent, d’autres disparaissent, et tout le monde pense qu’Alexia est responsable. Mais que se trame-t-il réellement dans la bonne société londonienne ? Vampires, loups-garous et aristocrates : un réjouissant mélange de romanesque et de fantastique !

Mon avis: 

Un roman de bit-lit drôle et intéressant à la fois et qui apporte un souffle nouveau au genre. En effet, l’héroïne, Alexia Tarabotti, est une sans-âme ce qui veut dire qu’à son contact, vampires, loups-garous et autres joyeusetés perdent immédiatement (ou presque) leurs pouvoirs qui sont dès lors inutilisables contre elle. Suite à la mort ou la disparition de plusieurs jeunes vampires, Alexia et le responsable du bureau des créatures surnaturelles, Lord Maccon, un beau spécimen de loup-garou, vont enquêter pour comprendre qui est derrière cette affaire. J’ai vraiment été entraînée dans le récit que j’ai trouvé palpitant et bien mené. Je pense lire dans les prochaines semaines le tome 2.

Ma note: ♥♥♥♥

Et voilà, c’est tout pour mes lectures du mois de septembre, j’ai toujours plus de retard dans mes chroniques et j’en suis navrée.

Et vous, qu’avez-vous lu dernièrement ?

Bisous !

[SP] J’ai lu: La vérité sur le mensonge de Benedict Wells

Hello !

J’ai eu la chance de recevoir de la part des éditions Slatkine & Cie le recueil de nouvelles « La Vérité sur le Mensonge » de Benedict Wells, auteur dont je n’avais lu encore aucun livre bien que depuis quelques temps j’avais vu en librairie plusieurs de ses romans qui me donnaient bien envie !

la vérité sur le mensonge

 

Nombre de page: 220 pages

Date de parution: 12 septembre 2019

Maison d’édition: Slatkine & Cie

Il s’agit là d’un recueil de 10 nouvelles qui ont plusieurs thèmes en commun:

  • la relation parent-enfant
  • le temps qui passe
  • la solitude
  • la nostalgie

Je ne vais pas vous faire un résumé de chacune des nouvelles (comme il s’agit justement de nouvelles, vous en faire le résumé vous raconterait déjà tout) mais je tenais tout de même à dire que j’ai eu un gros coup de cœur pour la nouvelle « la mouche » qui fait le parallèle entre une mouche en train de se noyer dans un verre de limonade et une femme qui a « gâché » sa vie à la consacrer aux autres sans prendre en compte ses propres désirs.

J’ai également beaucoup aimé « la muse »où l’on suit une jeune autrice qui fait la rencontre de sa muse, tombée du ciel tel un ange… et « la franchise (la vérité sur le mensonge) » où un producteur célèbre raconte à un journaliste qu’il a volé l’idée de Star Wars à George Lucas en empruntant un passage dans le temps qui lui a permis de revenir en 1973… J’ai vraiment apprécié cette incursion dans l’extraordinaire qu’a fait l’auteur avec certaines de ses nouvelles, cela donne un bon rythme à l’ensemble du recueil,un bon mélange entre le réel et l’irrationnel (« la promenade », « ping pong »).

Certaines nouvelles m’ont laissées un peu dubitative (« la pension », « la nuit des livres ») car trop courtes et pas assez abouties à mon sens même si la narration de l’auteur est toujours très agréable et les pages se tournent rapidement. L’idée de « la nuit des livres » était excellente mais j’ai été un peu déçue du dénouement.

Deux nouvelles (« la nuit des livres » et « l’émergence de la peur ») sont en fait des sortes de spin-off du livre « la fin de la solitude », un roman précédent de l’auteur. Je pense que celles-ci auraient eu plus d’impact sur moi si j’avais lu ce roman au préalable, même si d’après les notes de l’auteur ce n’est pas nécessaire.

Dans l’ensemble, je dois dire que la plume de Benedict Wells a su me séduire et je pense me procurer ses précédents romans (« la fin de la solitude » et « le dernier été », qui sont sortis au Livre de Poche) lors de mon prochain passage en librairie !

Ma note: ♥♥♥♥

Un grand merci aux éditions Slatkine & Cie pour l’envoi de ce SP !