[SP]J’ai lu: Tadzio – mourir à Venise Jeremy Niels Circus

Hello tout le monde !

Je vous retrouve aujourd’hui pour vous parler du roman Tadzio Mourir à Venise de l’auteur français Jeremy Niels Circus que j’ai eu la chance de recevoir directement de sa part. 

 ♥ = Bof bof, à éviter

♥♥ = Sympa, sans plus

♥♥♥ = Pas mal du tout , j’ai passé un bon moment !

♥♥♥♥ = A lire absolument !

♥♥♥♥♥ = Attention, gros coup de cœur !

Les (♥) représentent les demis 

L’image provient de mon Instagram.

Nombre de pages:  49 pages

Maison d’édition: L’Harmattan – Miroirs du réels, Fantastique

Date de parution (dans cette édition):  mai 2024

4ème de couverture:

Ce sera leur dernière rencontre. Un ultime rendez-vous entre Björn et Tadzio, le personnage du roman de La Mort à Venise écrit par Thomas Mann et celui qui l’a incarné à l’écran dans le film de Luchino Visconti, l’acteur Björn Andresen.
C’est l’histoire de deux mondes opposés qui se rencontrent pour un dernier voyage à Venise.

Mon avis:

L’auteur donne une voix au personnage de Tadzio du roman “Mort à Venise” de Thomas Mann. Celui-ci, éternel adolescent, s’adresse à Björn Andresen, l’acteur qui lui avait prêté ses traits dans l’adaptation cinématographique de Luchino Visconti.

Tadzio est coincé à jamais entre les pages de son roman. Björn Andresen, quant à lui, a pu faire sa vie loin de Venise, même si tout le ramène là-bas, vers ce double de papier qu’il a si bien incarné.

« Moi Tadzio, l’être de papier, je suis le souvenir déposé sur une table de chevet. Je ne vis que dans le livre rangé sur la bibliothèque. Celui que l’on conserve et serre contre soi. Celui dont on connaît l’odeur familière.

Mais toi Björn, comment as-tu fait pour vivre? Emprisonné dans la peau de cet enfant à qui on a refusé de grandir. »

Tadzio – mourir à Venise, de Jeremy Niels Circus, pages 19-20.

Comment accepter de prendre de l’âge et de se voir changer dans le miroir quand le 7ème art a immortalisé à jamais notre innocente et flamboyante beauté adolescente? Il sera à jamais le visage de Tadzio, ce personnage se superposant à sa propre identité, qui devient alors secondaire.


Un micro roman percutant qui fait réfléchir au temps qui passe. Cela m’a donné envie de découvrir le livre de Thomas Mann et le film devenu culte afin de retrouver Tadzio et de passer un moment en sa compagnie.

La plume de Jeremy Niels Circus a su me toucher en plein cœur avec ce court texte écrit très poétiquement et dont j’ai surligné énormément de passages.

À découvrir!!!

Ma note: ♥♥♥♥♥


Un grand merci à Jeremy Niels Circus pour l’envoi de ce SP!

[SP]J’ai lu: Sur les traces de mon père de Francine Crettaz

Hello tout le monde !

Je vous retrouve aujourd’hui pour vous parler du roman Sur les traces de mon père de l’autrice Francine Crettaz que j’ai eu la chance de recevoir de la part des Editions Plaisir de lire

 ♥ = Bof bof, à éviter

♥♥ = Sympa, sans plus

♥♥♥ = Pas mal du tout , j’ai passé un bon moment !

♥♥♥♥ = A lire absolument !

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Nombre de pages: 198 pages

Maison d’édition: Plaisir de lire, collection aujourd’hui

Date de parution (dans cette édition): avril 2024

4ème de couverture:

En 1961, Jules meurt d’un cancer. Il avait trente-huit ans et vivait dans le Val d’Anniviers (Valais). Impliqué dans la vie et le développement de ce coin du monde, il a été instituteur, postier, vice-président de sa commune.
Des décennies plus tard, sa fille le ressuscite pour le prendre à témoin de son parcours. Elle creuse dans ses souvenirs d’enfance, interroge sa fratrie, recourt à l’imagination pour combler les trous et mène l’enquête jusqu’au sommet de La Chapelle de Zinal. Au fil du récit, son père – resté dans sa tête un monument de glace – se réchauffe, prend des couleurs, se nuance, devient humain.
À travers des légendes, on perçoit l’origine des habitants de la Vallée, on s’immerge dans un climat de patriarcat, de transhumance, de tremblement de terre, d’avalanches de neige et de naissances, de fêtes au village, de construction de barrages, de descentes à skis. On suit la vie de la famille et celle de la vallée qui se transforme, dans ce mélange intime et communautaire.

Mon avis:

Dans ce « roman », l’autrice retrace le destin de son père, Jules Crettaz, professeur, décédé d’un cancer à 38 ans alors qu’elle n’était âgée que de 7 ans.

Elle imagine alors, à partir de ce qu’elle sait ou qu’on lui a relaté, la jeunesse de son père et ses loisirs. La plume de l’autrice, mordante et fluide, brosse un tableau honnête de la vie en Valais dans les années 50-60, sans chercher à enjoliver les choses.

Mais comment parler d’un père qu’on a si peu connu et qui est mort si jeune, au point que nos propres enfants ont presque atteint l’âge auquel il est décédé?

Comment s’adresser à un père dont on a si peu de souvenirs? Au fil des pages, on ressent toute la tendresse et l’amour d’une fille pour son père.

Il est également passionnant de constater l’évolution des relations hommes/femmes au cours des années (bien heureusement).

La mère, celle à qui on attribue toutes les tares quand on les enfants ont des problèmes, disparaît dans les arbres généalogiques établis par des hommes qui ne s’intéressent qu’à la circulation de leur sang.

Sur les traces de mon père, de Francine Crettaz, page 24.

Un roman touchant car on sent qu’il a fait l’objet de beaucoup de recherches et que c’était très important pour l’autrice de rendre cet hommage à son papa, pour qu’il ne soit jamais oublié, lui qui a laissé un si grand vide derrière lui. 

Ma note: ♥♥♥♥


Un grand merci aux éditions Plaisir de lire pour l’envoi de ce SP!

[SP]J’ai lu: Le lac était noir de Gilles de Montmollin

Hello tout le monde !

Je vous retrouve aujourd’hui pour vous parler du roman Le lac était noir de l’auteur suisse Gilles de Montmollin que j’ai eu la chance de recevoir de la part des éditions BSN Press – Okama. 

 ♥ = Bof bof, à éviter

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Nombre de pages:  216 pages

Maison d’édition: BSN Press/Okama – collection Tenebris

Date de parution (dans cette édition): 13 mars 2024

4ème de couverture:

Romain, un jeune Français du Midi, débarque chez son ami Enzo pour des vacances en Suisse. Problème : celui- ci a disparu. À Neuchâtel, la veille au soir, avec trois autres passagers, il a embarqué sur un bateau pour Yverdon-les-Bains. Il n’y est jamais arrivé. La police avance l’hypothèse d’une explosion du moteur, mais, très vite, Romain a de bonnes raisons d’en douter.

Mon avis:

Nous allons suivre Romain, jeune Français qui décide de partir prendre quelques jours de vacances chez Enzo, un ami d’études, en Suisse, à Yverdon-les-Bains, au bord du lac de Neuchâtel. Quand Romain arrive sur place, il déchante très vite.

En effet, Enzo est porté disparu après une virée nocturne sur le lac. Il était accompagné de 3 autres personnes, dont la conseillère municipale d’Yverdon, son mari et une amie.

Cette amie est la mère de Clarisse, une jeune femme charmante qui cherche également à comprendre ce qui a bien pu arriver à sa mère et à ses compagnons. Clarisse et Romain vont faire connaissance et très vite sympathiser.

Ensemble, ils vont enquêter pour comprendre ce qui a bien pu se passer au cours de cette fameuse nuit, d’autant plus que les investigations de la police sont restées vaines et le bateau introuvable. Cependant, les mobiles pour faire du mal à l’une des personnes présente sur le bateau cette nuit-là se révèlent être multiples. Accident, vengeance…?

Clarisse et Romain vont rapidement se rendre compte qu’ils sont surveillés et peut-être même en danger…

Un thriller rondement mené qui se passe dans la région dans laquelle je vis et que je connais donc très bien, ce qui a donné encore plus de réalité à l’intrigue.

J’ai aimé la plume fluide de l’auteur et ses lignes de dialogues qui sonnent justes, j’avais l’impression d’entendre parler les personnages dans ma tête.

Un roman qui aborde – entre autres – la problématique de la pollution et de notre impact sur le réchauffement climatique par le biais de Clarisse qui est une fervente militante pour l’écologie et le climat.

Un roman que j’ai lu d’une seule traite tant le rythme est haletant et bien maîtrisé…jusqu’à la dernière ligne.

Ma note: ♥♥♥♥(♥)


Un grand merci aux éditions BSN Press/OKAMA pour l’envoi de ce SP!

J’ai lu: La femme de ménage de Freida McFadden

Hello tout le monde !

Je vous retrouve aujourd’hui pour vous parler du roman La femme de ménage de l’autrice Freida McFadden. 

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Nombre de pages: 412 pages

Maison d’édition: J’ai lu

Date de parution (dans cette édition): septembre 2023

4ème de couverture:

Chaque jour, Millie fait le ménage dans la belle maison des Winchester, une riche famille new-yorkaise. Elle récupère aussi leur fille à l’école et prépare les repas avant d’aller se coucher dans sa chambre, au grenier. Pour la jeune femme, ce nouveau travail est une chance inespérée. L’occasion de repartir de zéro. Mais, sous des dehors respectables, sa patronne se montre de plus en plus instable et toxique. Et puis il y a aussi cette rumeur dérangeante qui court dans le quartier : Mme Winchester aurait tenté de noyer sa fille quelques années auparavant. Heureusement, le charmant M. Winchester est là pour rendre la situation plus supportable. Mais le danger se tapit parfois sous des apparences trompeuses. Et lorsque Millie découvre que la porte de sa chambre mansardée ne ferme que de l’extérieur, il est peut-être déjà trop tard…

Mon avis: 

Après avoir vu passer ce roman un peu partout sur les réseaux sociaux, je dois avouer que ma curiosité avait été bien titillée… du coup, j’ai lu enfin la femme de ménage et je n’ai pas du tout regretté, je pense que le tapage médiatique est mérité!

Nous allons suivre Millie, la narratrice, une jolie jeune femme qui sort de prison et qui vit dans sa voiture faute de trouver une nouvel employeur qui voudrait bien d’une ex taularde.

Quand elle se présente pour le poste de femme de ménage chez les Winchester, une riche famille, elle pense que sa chance vient enfin de tourner, surtout que ses nouveaux employeurs la logent dans une mansarde.

Nina, sa patronne, pourtant adorable lors de l’entretien d’embauche, se comporte de plus en plus bizarrement et se montre même parfois parfaitement hostile en la houspillant pour un rien. Peu à peu, Millie comprend que Nina souffre de troubles bipolaires et se tourne alors vers le très gentil mari de celle-ci, Andrew, parfait sous tous rapports.

Cependant, Millie réalise très vite que quelque chose cloche, sans arriver à mettre précisément le doigt dessus. Et pourquoi la porte de sa chambre ne ferme-t-elle que depuis l’extérieur?

Un thriller impossible à lâcher qui a su me surprendre (malgré quelques similitudes avec « derrière les portes » de B.A. Paris lu il y a quelques mois).

J’ai aimé la plume de l’autrice qui a su m’embarquer dès la première page et j’ai adoré le personnage de Millie qui malgré le fait qu’elle en a bavé dans sa vie, croit toujours à l’amour et à son droit au bonheur.

Un roman jubilatoire et machiavélique à souhait!
Je me réjouis déjà de lire la suite, « les secrets de la femme de ménage »!! 

Ma note: ♥♥♥♥(♥)

J’ai lu: I.R.L. d’Agnès Marot

Hello tout le monde !

Je vous retrouve aujourd’hui pour vous parler du roman I.R.L. de l’autrice Agnès Marot. 

 ♥ = Bof bof, à éviter

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Nombre de pages: 456 pages

Maison d’édition:  Gulf stream éditeur, collection Electrogène, S.-F.

Date de parution (dans cette édition): 7 avril 2016

4ème de couverture:

Je m’appelle Chloé Blanche et j’ai grandi à Life City. Comme tous ses habitants, j’ignorais que nous étions films en permanence. J’ignorais que nous étions un divertissement pour des milliers et des milliers de foyers. J’ignorais que nous étions les personnages de Play Your Life, l’émission qui fait fureur hors de Life City, IRL. J’ignorais surtout à quel point nous étions manipulés. Puis j’ai rencontré Hilmi, le nouveau à la peau caramel. Le garçon qui faisait battre mon coeur, mais que ceux qui tirent les ficelles ne me destinaient pas. C’est ainsi que j’ai découvert ce que nous étions, à Life City: les personnages d’un immense jeu vidéo.

Mon avis:

Dans ce roman, nous allons suivre Chloé, jeune adolescente qui vit à Life City. Elle ne se doute pas une seconde qu’elle est en fait un personnage de jeu vidéo, une sorte de Sim’s mais beaucoup plus évolué.

Lorsqu’elle réalise que des caméras suivent chacun de ses faits et gestes et que certains de ses actes lui sont dictés (par celui qui la joue), elle va chercher à comprendre le comment du pourquoi et à sortir de ce programme. Le problème: Chloé n’est pas réelle, elle n’est faite que de lignes de codes, malgré les sentiments qu’elle croit éprouver.

Ce roman parle des intelligences artificielles de plus en plus perfectionnées et indépendantes. Il pose également des questions intéressantes comme: À quel moment peut-on considérer une AI comme humaine? Les AI ont-elles une âme?

Bref, Chloé parviendra-t-elle à faire éclater la vérité et à confondre devant le monde entier le créateur de Play your life, Arn Rinku, avant qu’il ne la réinitialise ainsi que ses proches?

Par ailleurs, l’autrice dénonce l’hypersurveillance constante via internet dont nous sommes les victimes consentantes et passives au quotidien. Elle pointe également du doigt ce besoin presque maladif que nous avons de nous imaginer une vie plus belle que la nôtre, incapables de nous contenter de nos acquis.

Un roman YA novateur et bien construit (même si parfois des raccourcis sont pris) porté par la plume entraînante d’Agnès Marot.

Ma note: ♥♥♥(♥)

J’ai lu: Elles m’attendaient… de Tom Noti

Hello tout le monde !

Je vous retrouve aujourd’hui pour vous parler du roman Elles m’attendaient… de l’auteur Tom Noti.

 ♥ = Bof bof, à éviter

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Nombre de pages: 154 pages

Maison d’édition: La Trace

Date de parution (dans cette édition): 15 avril 2019

4ème de couverture:

« Quand l’amour protège autant qu’il détruit. »

Deux personnes s’aiment et leurs solitudes s’aimantent. Cela ressemble à une histoire d’amour simple et lumineuse, mais c’est sans compter sur les ombres que Max cache derrière ses silences…

Mon avis:

Dans ce court roman, nous allons suivre Max, un homme fou amoureux de sa femme.

Elle est devenue ma femme, Elle a pris mon nom. Le nom de mes parents qui n’étaient pas là et qui ne l’avaient jamais été. Il ne me restait d’eux que ce nom que je lui offrais comme on offre ses cicatrices au soleil. Elle a dit « oui je le veux » et s’est marrée avec des petites perles de larmes au coin des yeux. Un bijou de mariée. Elle avait toujours un petit truc de plus à ajouter aux moments et aux mots. Une coquetterie. Comme un ingrédient de sa cuisine à Elle. Un petit truc en plus, dans un coin de ses yeux, un coin de sa bouche, un coin de sa tête. Un aromate cardiaque, un sourire qui faisait toujours piquer mes yeux. 

Elle voulait tellement que je sois enfin heureux et je crois l’avoir vraiment été. Un temps seulement. Un peu. Car cette peur me tenaillait les entrailles sans relâche.

Elles m’attendaient… de Tom Noti, page 15.

Lui qui n’a jamais connu l’amour de ses parents alcooliques, c’est un raz-de-marée émotionnel qui l’emporte le jour où il devient papa d’une petite fille.

Max est un taiseux, un ouvrier de chantier qui ne s’estime jamais à la hauteur et de déprécie énormément, ce qui va le mener à succomber à ses démons… Ne se sentant jamais « assez » pour ce petit bébé, sa merveille, et sa femme qu’il admire tant, Max va sombrer dans la dépression.

La plume de Tom Noti nous emporte dans un tourbillon d’amour et de mots jamais prononcés, brossant avec sensibilité le portrait d’un « père-Loup », prêt à tout pour son enfant.

Prêt à tous les sacrifices pour la protéger de tout et de tout le monde et lui offrir l’amour et l’attention qu’il n’a pas eu de ses propres parents.

En alternance, nous allons suivre d’autres protagonistes dont Halley, sa femme, ou encore Rosie, leur fille.

Elles aimeraient pouvoir aider Max mais se retrouvent désemparées devant sa souffrance et son mal-être silencieux.

Un roman lumineux qui donne une voix aux personnes qui vivent en marge de la société et qui nous touche en plein cœur avec ses personnages profondément humains.

A présent, j’ai envie de découvrir les autres livres de cet auteur!

Ma note: ♥♥♥♥(♥)


J’ai lu: Un animal sauvage de Joël Dicker

Hello tout le monde !

Je vous retrouve aujourd’hui pour vous parler du roman Un animal sauvage de l’auteur Joël Dicker.

 ♥ = Bof bof, à éviter

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Nombre de pages: 416 pages

Maison d’édition: Rosie & Wolfe

Date de parution (dans cette édition): 27 février 2024

4ème de couverture:

Braquage à Genève

2 juillet 2022, deux malfaiteurs sont sur le point de dévaliser une grande bijouterie de Genève. Mais ce braquage est loin d’être un banal fait divers…

Vingt jours plus tôt, dans une banlieue cossue des rives du lac Léman, Sophie Braun s’apprête à fêter ses quarante ans. La vie lui sourit. Elle habite avec sa famille dans une magnifique villa bordée par la forêt. Mais son monde idyllique commence à vaciller.

Son mari est empêtré dans ses petits arrangements.

Son voisin, un policier pourtant réputé irréprochable, est fasciné par elle jusqu’à l’obsession et l’épie dans sa vie la plus intime.

Et un mystérieux rôdeur lui offre, le jour de son anniversaire, un cadeau qui va la bouleverser.

Il faudra de nombreux allers-retours dans le passé, loin de Genève, pour remonter à l’origine de cette intrigue diabolique dont personne ne sortira indemne. Pas même le lecteur.

Mon avis:

Un ouvrage impossible à lâcher, à la croisée entre le polar et le roman de mœurs.

Ici, pas d’effusions de sang (d’ailleurs il me semble qu’aucun roman de l’auteur ne contient vraiment des scènes violentes).

Ce livre nous interroge sur l’image que nous voulons donner de nous aux autres en opposition avec la personne que nous sommes réellement à l’intérieur de nous-mêmes.

Une intrigue haletante et brillamment menée, avec une sorte de compte à rebours qui nous met un coup de pression supplémentaire.

En effet, dès le début du roman, nous apprenons qu’un braquage va avoir lieu dans une bijouterie mais l’auteur déroule peu à peu le fil de son intrigue afin de nous aider à assembler les pièces du puzzle, tout en nous menant bien en bateau!

En parallèle, Joël Dicker décrit avec brio la vie quotidienne de deux couples de voisins. L’un parfait sous tout rapport et l’autre dont la passion s’est insidieusement étiolée au fil des années.

Entre envie et jalousie la tension va rapidement monter alors que la situation semblait de prime abord idyllique et sans nuage.

Le roman se passe prioritairement à Genève et on sent que l’auteur connaît bien cette ville et les gens qui y habitent. Ses descriptions des habitants des nouveaux quartiers résidentiels qui bourgeonnent dans les villages en périphérie de Genève sont plus vraies que nature.

Ce livre a été pour moi un page-turner implacable et je n’en attendais pas moins de la part de cet auteur à succès 😊 !

Une réussite!

Ma note: ♥♥♥♥♥


J’ai lu: La mère parfaite d’Aimee Molloy

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Je vous retrouve aujourd’hui pour vous parler du roman La mère parfaite de l’autrice Aimee Molloy. 

 ♥ = Bof bof, à éviter

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Nombre de pages: 448 pages

Maison d’édition: Pocket

Date de parution (dans cette édition): 19 mars 2020

4ème de couverture:

Nell, Francie, Winnie et Colette font partie des  » Mères de mai « , un groupe de femmes ayant toutes accouché le même mois. Devenues amies pendant leur grossesse, elles se retrouvent régulièrement pour échanger sur leur quotidien, pour sortir un peu, se changer les idées.
Le soir du 4 juillet, elles se retrouvent autour d’un verre. Leur vie bascule lorsque Winnie rentre chez elle et découvre un berceau vide. Face à l’inefficacité de la police Nell, Francie et Colette décident de mener leur propre enquête, prêtes à tout pour retrouver le nouveau-né. Sans imaginer, ni mesurer un instant tout ce qui va être bouleversé. Leurs vies, en apparence si parfaites, deviennent le centre de toutes les attentions…

Mon avis:

Alors qu’un groupe de jeunes mamans décident de ressortir pour la première fois sans enfant (et sans conjoint), le bébé de Winnie disparaît.

Entre mensonges et dissimulations, toutes ces jeunes femmes ont un secret qu’elles se sont bien gardé de partager avec les autres.

L’autrice aborde le thème de la maternité et surtout de ses dérives et injonctions qui font que de plus en plus de jeunes mamans (et papas) se sentent dépassées et pas à la hauteur.

J’ai apprécié que les copines de Winnie ne la laissent pas tomber, faisant preuve d’une sororité assez rare pour être mentionnée.

En effet, même si tout la désigne comme responsable de la disparition de son fils, ses amies Colette, Francie et Nell vont essayer coûte que coûte de découvrir la vérité et innocenter Winnie.

Un roman très bien construit qui se dévore et dont le dénouement inattendu – mais tombé un peu de nulle part je l’avoue – a su me surprendre.

Ma note: ♥♥♥(♥)


J’ai lu: Le Cercle de Bernard Minier

Hello tout le monde !

Je vous retrouve aujourd’hui pour vous parler du roman Le Cercle de l’auteur Bernard Minier. 

 ♥ = Bof bof, à éviter

♥♥ = Sympa, sans plus

♥♥♥ = Pas mal du tout , j’ai passé un bon moment !

♥♥♥♥ = A lire absolument !

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Nombre de pages: 800 pages

Maison d’édition: Pocket

Date de parution (dans cette édition): 14 novembre 2013

4ème de couverture:

Un coup de fil surgi du passé, un e-mail énigmatique, qui signe peut-être le retour du plus retors des serial-killers, précipitent le commandant Martin Servaz dans une enquête dangereuse, la plus personnelle de sa vie. Un professeur de civilisation antique assassiné, un éleveur de chiens dévoré par ses animaux… Pourquoi la mort s’acharne-t-elle sur Marsac, petite ville universitaire du Sud-Ouest, et son cercle d’étudiants réunissant l’élite de la région ? Confronté à un univers terrifiant de perversité, Servaz va rouvrir d’anciennes et terribles blessures et faire l’apprentissage de la peur, pour lui-même comme pour les siens.

Mon avis:

Il s’agit du second volet des enquêtes de Martin Servaz (après « glacé » que j’avais adoré!), bien que vous puissiez tout-à-fait lire ce livre sans avoir lu le précédent car l’auteur « résume » un peu ce qu’il se passe dans « glacé ».

C’est avec un grand plaisir que j’ai retrouvé le commandant Martin Servaz et son équipe pour une enquête qui pourrait bien remuer le passé de Martin et de ses amis d’enfance.

Une prof de fac où est justement inscrite la fille de notre héros est retrouvée noyée dans sa baignoire. Crime passionnel, vengeance, serial killer? Les potentiels coupables ne manquent pas…

En parallèle, tout porte à croire que Julian Hirtmann, le serial killer qui obsède Servaz (depuis leur rencontre dans Glacé) est de retour pour s’en prendre à ses proches. Ce qu’il a de plus précieux au monde.

Martin Servaz est un personnage intéressant car il n’est pas un « superflic » invincible, il a des défauts et des failles et c’est bien ce qui le rend si attachant. C’est un peu le « mec d’à côté ». De plus, sa relation avec sa fille est plus développée dans cet opus-ci et j’ai aimé suivre Margot, qui n’hésite pas à prendre des risques pour faire avancer l’enquête de son père.

La vérité sera bien plus complexe qu’il n’y parait et Martin Servaz apprendra à ses dépends que les apparences sont souvent trompeuses.

Un polar à l’intrigue menée tambour battant et brillamment maîtrisée.

Un excellent thriller impossible à lâcher malgré ses 780 pages et j’ai déjà hâte de lire la suite, « nuit », que j’ai mis dans ma pile à lire du mois de juillet!

Ma note: ♥♥♥♥(♥)


J’ai lu: La maison aux sortilèges d’Emilia Hart

Hello tout le monde !

Je vous retrouve aujourd’hui pour vous parler du roman La maison aux sortilèges de l’autrice Emilia Hart. Il s’agit de son premier roman.

 ♥ = Bof bof, à éviter

♥♥ = Sympa, sans plus

♥♥♥ = Pas mal du tout , j’ai passé un bon moment !

♥♥♥♥ = A lire absolument !

♥♥♥♥♥ = Attention, gros coup de cœur !

Les (♥) représentent les demis 

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Nombre de pages: 448 pages

Maison d’édition: Les Escales

Date de parution (dans cette édition): 28 septembre 2023

4ème de couverture:

Trois femmes extraordinaires séparées par quatre siècles.
Un roman captivant sur la puissance des femmes et le pouvoir de la nature.

2019. Kate fuit Londres pour se réfugier dans une maison délabrée dont elle a hérité. Avec son lierre dégringolant et son jardin envahi par les mauvaises herbes, ce havre de paix la protège de son compagnon violent. Kate sent toutefois qu’un secret s’y tapit…

1942. Alors que la Seconde Guerre mondiale fait rage, Violet est cloîtrée dans le grand domaine familial, étouffée par les conventions sociales. Elle vit avec le souvenir de sa mère, dont il ne lui reste qu’un mystérieux médaillon et une inscription étrange sur le mur de sa chambre.

1619. Altha connaît les secrets des plantes, savoir ancestral transmis de mère en fille. Nombreux sont les villageois à venir lui demander de l’aide. Pourtant, quand un fermier meurt piétiné par son troupeau, tous la pointent du doigt et l’accusent de sorcellerie.

Mon avis:

Dans ce roman, nous allons suivre 3 femmes à 3 époques différentes:

Altha, en 1619, jeune femme accusée de sorcellerie et dont la vie est menacée.

Violet, en 1942, jeune femme féministe avant l’heure qui aimerait pouvoir exercer un métier d’homme. Elle refuse le destin tout tracé que son père a choisi pour elle et préférerait vivre dans la nature, loin de toutes conventions sociales.

Puis nous allons suivre Kate, en 2019, une jeune femme battue par son conjoint qui décide de prendre son destin en main en allant se réfugier dans la maison qu’une tante lui a légué, en bordure de forêt.

Toutes les trois sont liées par le nom et le domaine Weyward. Une lignée de femmes puissantes qui ont en tout temps impressionné (ou effrayé) les hommes de leur entourage.

J’ai adoré ce roman choral où tous les événements s’imbriquent parfaitement pour former un ensemble cohérent.

La maison aux sortilèges est un livre résolument féministe et mystique qui a su me transporter et me faire voyager à travers les époques.

Une magnifique histoire qui restera longtemps dans ma mémoire.

Ma note: ♥♥♥♥♥